Sofiane Hidoussi, nouveau patron de la barre technique de la JS Kabylie, découvrira son équipe sur le terrain ce vendredi à l'occasion de la rencontre face au CS Constantine dans le cadre de la 10e journée du championnat de la Ligue 1 Mobilis. Après avoir entamé son travail lundi dernier au stade de Tizi-Ouzou pour préparer son équipe pour la suite du championnat, le successeur de Mouassa reste confiant. «J'ai confiance en mes joueurs et je sais bien qu'on est capables de créer la surprise et revenir avec un bon résultat. Il suffit que les joueurs soient bien concentrés et surtout efficaces devant les buts», a déclaré le technicien tunisien qui affirme qu'il croit en les capacités de son équipe. «Je crois que la JSK renferme un bon groupe. J'ai constaté que certains joueurs possèdent d'énormes qualités. Il suffit juste de leur faire confiance et de les pousser à donner le meilleur sur le terrain et pendant les entraînements». Et pour exhorter ses joueurs à retrouver la confiance, Hidoussi estime qu'il faut un travail psychologique. «C'est au niveau du mental que ça se passe. Je trouve anormal qu'une équipe qui possède de bons joueurs n'arrive pas à gagner à domicile. Concéder cinq matchs nuls sur son terrain est vraiment grave. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Donc, je vais essayer de trouver de quoi il s'agit. La JSK doit revenir en force le plus rapidement possible (...) Je me suis réuni avec les joueurs pendant 45 minutes avant le début du travail de ma première séance. J'ai essayé de communiquer avec eux afin d'en savoir davantage sur tout. Je leur ai même demandé de jouer à l'aise et de nous faire plaisir. Je suis prêt à assumer toutes les responsabilités en cas de défaite». Voilà qui résume la situation des Canaris qui peinent à prendre leur envol au stade de Tizi. Avec la venue du nouvel entraîneur, les supporters espèrent que ce sera la fin d'une série de mauvais résultats... La JSK, pour rappel, n'arrive plus à gagner au stade du 1er-Novembre de Tizi-Ouzou cette saison, enchaînant cinq matchs nuls.