L�eau distribu�e au compte-gouttes Le barrage de Sidi-M�hamed-Benaouda, situ� � 22 km du chef-lieu de wilaya, alimente annuellement quelque 12 millions de m�tres cubes en eau potable de la ville du chef-lieu et 15 millions de m�tres cubes � l�irrigation de 3600 hectares du p�rim�tre dans la wilaya de Relizane. Selon des sources, le barrage est � son plus bas niveau depuis sa mise en service en 1977 avec seulement 42 millions de m�tres cubes. Ce volume repr�sente moins de 25 pour cent de sa capacit� estim�e � 225 millions de m�tres cubes. La wilaya de Relizane abrite deux grandes infrastructures en mati�re de stockage d�eau, les habitants du chef-lieu de Relizane en cette saison qui s�annonce chaude ne sont pas � l�abri de moments difficiles dans leur approvisionnement en mati�re pr�cieuse. D�gradation de l�environnement La multiplication des d�charges sauvages enregistr�e ces derniers temps � travers certains quartiers p�riph�riques tels que Bermadia et Nedjah et m�me du centre-ville est une catastrophe pour l�environnement qui est en d�gradation continue. O� est le civisme ? Et l�APC quand sera-t-elle �quip�e de camions tasseurs pour soulager les citoyens qui n�ont que trop souffert de ces ordures naus�abondes ? Les habitants de la cit� 58 Logements inquiets Lass�s d�attendre une hypoth�tique prise en charge de la part des autorit�s locales � travers toutes leurs sollicitations, adress�es par �crit et rest�es lettre morte, les habitants de la cit� des 58 Logements (duplex) au niveau de la nouvelle cit� Adda-Benaouda ex-Bernadia n�ont eu d�autre choix que de recourir � la presse pour faire entendre leur voix. En effet, � chaque chute de pluie, c�est le m�me calvaire endur� par ces habitants qui vivent dans des conditions pr�caires � chaque saison hivernale et estivale. Selon l�un des interlocuteurs qui nous a invit�s � nous rendre sur les lieux, les enfants souffrent de l��tat des routes quand il s�agit de se d�placer, ces derni�res se transformant en v�ritables bourbiers. Cette cat�gorie de citoyens esp�re que le premier responsable prendra en charge leur situation. A. Rahmane TLEMCEN Bac 2005, la catastrophe Du jamais vu � Tlemcen. Avec un taux de 24% de r�ussite au bac, la ville d�art et d�histoire est au rang des wilayas sinistr�es. En attendant de d�cortiquer les raisons de ce grave �chec qui n�honore pas Tlemcen, ni son �lite intellectuelle, il faudrait peut-�tre demander des comptes pour �viter que ce sc�nario se reproduise. Deux secteurs se portent mal � Tlemcen : la culture et le sport, le r�sultat du bac et le parcours du WAT sont l� pour en dire long sur la responsabilit� des uns et des autres. Formation professionnelle en milieu rural Dans le but d�impliquer le monde rural dans le d�veloppement local et plus particuli�rement la femme au foyer en zone rurale, 15 centres de formation professionnelle ont �t� dot�s de moyens pour pr�parer la femme de ce milieu � une insertion convenable � la vie active. Rappelons au passage, que ce sont 70% de la population de Tlemcen qui font partie du monde paysan, et c�est l� o� le ch�mage, parfois le plus souvent non recens�, fait de cette population des laiss�s-pourcompte. P�RIODE ESTIVALE Plus de 7 millions de vacanciers attendus sur les c�tes Apr�s l��laboration du Plan bleu et les moyens investis pour la pr�paration de la p�riode estivale, les c�tes tlemc�niennes s�attendent � un nombre record des visiteurs : plus de 7 millions de vacanciers sont attendus sur les plages de la c�te de l�extr�me ouest, qui s��tend de B�ni-Saf � Marsat- Ben-M�hidi. Toutefois, B�ni-Saf (wilaya d�A�n-T�mouchent) reste une destination tr�s pris�e par les Tlemc�niens. M. Z.