Concurrence : Intel ne m�che pas ses mots contre AMD Si AMD a des difficult�s sur le march� des processeurs, c'est de sa faute, estime Intel. Sa plainte est consid�r�e comme "fantaisiste"! Nouveau rebondissement dans l'affaire des plaintes engag�es aux Etats-Unis par AMD contre son concurrent de toujours Intel. AMD accuse notamment le num�ro un mondial d'avoir emp�ch� la client�le de traiter avec lui. Le groupe dit avoir identifi� 38 soci�t�s qui ont �t� victimes de ces pratiques. Parmi celles-ci figurent de grands constructeurs informatiques, des grossistes et des distributeurs. Aujourd'hui, Intel contre-attaque juridiquement avec le d�p�t d'un dossier aupr�s d'un tribunal f�d�ral du Delaware. La contre-attaque est plut�t virulente : Intel estime que les difficult�s d'AMD sur le march� sont le r�sultat d'erreurs strat�giques et d'investissements trop faibles. Des accusations graves et �tay�es Intel occupe 90% environ du march� du microprocesseur pour PC, le segment le plus lucratif d'un secteur celui des semi-conducteurs �valu� � 226 milliards de dollars, AMD revendiquant les 10% restants. Malgr� des produits salu�s par les analystes, la part de march� d'AMD stagne. L'industriel ne cesse depuis des ann�es de d�noncer les meilleures conditions soumises aux fabricants de PC qui ach�tent Intel. Dans sa plainte d�pos�e au Tribunal f�d�ral du Delaware, AMD ne se prive pas de donner des exemples concrets des pratiques douteuses d'Intel. Intel aurait incit� Dell, Sony, Toshiba, Gateway, et Hitachi � utiliser exclusivement ses produits via un accord financier. Intel aurait vers� au Japon des pots de vin � Toshiba et Dell pour qu'ils n'utilisent pas les produits AMD. Et ce n'est pas fini ! Intel aurait pay� des "sommes consid�rables" � Sony pour une collaboration exclusive. AMD pr�cise d'ailleurs pour �tayer ses arguments que sa part de march� chez le japonais est pass�e de 23% en 2002 � 0% aujourd'hui... Michael Capellas, ex-CEO de Compaq, a d�clar� avoir eu "une arme sur la tempe"; il a inform� AMD qu'il devait cesser tout achat. Craig Barrett, ex-CEO d'Intel, aurait menac� le pr�sident d'Acer de "cons�quences graves" pour avoir soutenu le lancement du produit AMD Athlon 64. D'autres entreprises sont cit�es : NEC, HP, Gateway, Office Depot... Myfip.H, le ver invisible qui menace les r�seaux d'entreprise Il utilise la technologie des 'rootkit qui le rend ind�tectable aux antivirus ordinaires. Myfip p�n�tre les r�seaux d'entreprise et d�robe des donn�es strat�giques. Sa version H se fait plus mena�ante encore Un ver actif invisible qui utilise les technologies de 'rootkit peut rester ind�tectable par un anti-virus ordinaire. Soit que le syst�me est d�j� infect� par un ver rootkit avant que l'anti-virus ne soit install�, soit un nouveau ver cache ses fichiers et ses processus avant la mise � jour de l'anti-virus. L'�diteur finlandais F-Secure a d�tect� un ver particulier, Myfip.H, qui utilise les techniques de "stealth kernel rootkit" pour se cacher de l'administrateur syst�me et des antivirus traditionnels. Il a �t� con�u pour infecter les ordinateurs et voler leurs donn�es sensibles. Myfip est le premier ver � avoir d�clench� l'alerte parmi les entreprises en 2004, gr�ce � son habilet� � voler des informations sensibles. Contrairement aux autres vers, comme le Zotob, Myfip.H a �t� cr�� pour provoquer le moins d'int�r�t possible de fa�on � r�aliser sa mission. Et il ne se propage pas tout seul ! La transmission a lieu lors d'envoi de 'spams' avec un fichier joint. Lorsque l'utilisateur clique sur le fichier joint, Myfip scanne le disque dur de la machine infect�e et le r�seau d'information de l'entreprise, � la recherche des types de fichiers pr�d�finis. Ensuite, il renvoie ces fichiers � l'attaquant. Katrina : temp�te de spams et de malwares C'est sans surprise que la plupart des �diteurs de s�curit� signalent une vaste campagne de 'spams' li�e aux �v�nements tragiques, cons�quences du cyclone Katrina. Une sinistre habitude. Les pirates et les spammers surfent sur l'actualit� pour s'introduire dans les ordinateurs des internautes na�fs. La m�thode d'approche reste la m�me. Les emails envoy�s en masse contiennent un lien qui renvoie sur un site comme 'nextermest.com' qui sous couvert d'informations relatives au cyclone en profite pour d�verser une pluie de 'malwares' et autres chevaux de Troie dans le disque dur de l'utilisateur. L'ouragan passe, le num�rique faillit Lors du passage meurtrier de l'ouragan Katrina, les plates-formes p�troli�res ont temporairement cess� leur activit�, entra�nant une nouvelle hausse historique du baril de brut. Les �l�ments d�cha�n�s ont meurtri une partie de l'�conomie am�ricaine et, par ricochet, affect� l'�conomie mondiale. Mais au-del� des malheurs d'une population, Katrina a r�v�l� la force et les faiblesses de l'�conomie num�rique� La presse sur Internet reste disponible Premier exemple, The Times-Picayune, quotidien papier de New Orleans. A 250 km/h, Katrina a paralys� son fonctionnement : ses rotatives n'ont pas pu tourner, interdisant la parution du journal. Pourtant, The Times-Picayune a bien publi� une �dition de 20 pages, 'Hurricane Edition', disponible en format PDF. Les habitants de News Orleans, qui dans leur grande majorit� avaient d�sert� leur ville, ont ainsi pu consulter les nouvelles locales, � distance. Petit b�mol � on ne se refait pas ! � deux pleines pages de publicit� �taient d�di�es � des... compagnies d'assurance. Difficile d'�tre plus cyniquement expos� dans l'actualit� ! Le deuxi�me exemple est moins anecdotique ! Une grande partie de l'�conomie locale a �t� d�truite par l'ouragan. Pratiquement toutes les entreprises ont �t� touch�es ; mais les grandes entreprises s'en tirent mieux que les petites. Il ne s'agit pas seulement des actifs des entreprises qui ont �t� emport�s par le cyclone, mais surtout de leurs biens num�riques, leurs donn�es. La majorit� des grandes entreprises disposent d'un plan de s�curit�, pour justement limiter les risques. Il repose sur le principe de "data centers" distants qui fonctionnent en mission critique, h�bergeant des sauvegardes r�guli�res. Rien de tout cela pour les PME. Elles ont manqu� de ressources et de comp�tences. Elles n'ont pas pu imaginer le pire, car ce terrible ouragan, en certains endroits, n'a �pargn� personne. Une menace non �valu�e, qui s'est r�v�l�e pire qu'un attentat terroriste, pourtant au sommet de la parano�a am�ricaine. Les donn�es de centaines de PME se sont envol�es ! Ici, l'�conomie num�rique � qui aux Etats-Unis nourrit de nombreux projets de proximit� � n'aura pas �t� d'un grand secours pour beaucoup de PME. Les entreprises ont pourtant dispos� de deux jours pour sauvegarder leurs donn�es, mais combien auront pu, ou su, faire leurs sauvegardes � temps, � distance ou sur des supports mis efficacement � l'abri ? Une infime minorit�. Nero devrait passer en version 7 le 10 octobre prochain Accompagn� d'un nouveau moteur de gravure qui devrait �tre pr�t pour l'HD-DVD et le Blu-Ray, la suite Nero 7 sera accompagn�e de 18 applications et notamment de Nero Vision 4 (cr�ation vid�o avec support DVD VR), Media Home (Media Center am�lior� avec support de la t�l�commande), Nero Sound Trax, Nero Wave Editor (�diteur audio avec support 7.1), Nero Sound Box, BackitUp, InCD (compatible Blu-Ray UDF 2.5 et 2.6) et NeroScout (permet de cr�er des bases de donn�es, pour faciliter la recherche de titres musicaux par exemple avec un simple mot cl�). Certaines fonctions des applications pourront �tre int�gr�es directement � Windows.