Une jambe d�un homme a �t� d�couverte le 12 juin dernier par la brigade de la gendarmerie de Canastel, � A�n-Franine, une localit� baln�aire, qui se trouve � une dizaine de kilom�tres de la commune d�Oran. Alert�s par les services de la Protection civile, suite � cette �trange d�couverte, les gendarmes se sont d�plac�s sur les lieux, o� ils ont trouv� dans cette localit� peu fr�quent�e par les baigneurs, la jambe portant une tennis de marque Reebok et de pointure 44. Une enqu�te a �t� imm�diatement ouverte par les services de la Gendarmerie nationale, pour conna�tre les causes de ce drame. Il convient de rappeler qu�un accident similaire a �t� enregistr� au mois de novembre dernier, lorsque des enfants ont d�couvert � la rue Khemisti, en plein centre-ville, le pied gauche d�une femme, dissimul� dans un carton, d�pos� dans une voiture de marque Peugeot 404. Il s�agit selon l�enqu�te men�e par les services de la S�ret� nationale du pied amput� d�une femme, atteinte d�une gangr�ne. Les conditions de sa pr�sence dans cette voiture, n�ont jamais �t� �lucid�es. Soraya H. A. Les parents des �harragas� enqu�tent au Maroc Apr�s une attente qui n�a que trop dur�, apr�s un espoir tant attendu, celui d��tre enfin orient�s ou tout simplement aid�s par les autorit�s du pays, des familles de jeunes disparus en mer ont enfin pu installer ce 8 juin 206 leur bureau gr�ce � la cr�ation de leur association dite �Association des parents des disparus en mer�. Premi�re �mission� d�urgence, se rendre au Maroc o� ils ont pu recueillir assez d�informations quant � la pr�sence �ventuelle d�Alg�riens rep�ch�s sur les c�tes marocaines, certains seraient au niveau des morgues, alors que d�autres croupiraient en prison. Selon le pr�sident de l�association, 90% des jeunes rep�ch�s au Maroc sont en prison. Ne pouvant plus attendre une aide financi�re ext�rieure, les membres de l�association ont d�cid� de se rendre au Maroc par leurs propres moyens. Ainsi deux d�entre eux prendront le vol Oran/Casablanca pr�vu ce mardi 20 juin 2006.Une fois sur les lieux, les repr�sentants de l�association sont certains qu�ils seront confront�s � des entraves, mais ils comptent sur l�aide d�une association marocaine, qui a pris l�engagement de les aider dans leurs recherches, afin qu�ils puissent se rendre dans les h�pitaux et tenter de conna�tre l�identit� des Alg�riens harragas emprisonn�s pour ce motif. L�issue de cette intrigue qui entoure le sort de ces jeunes harragas Alg�riens, qui auraient surv�cu � leur m�saventure ne peut trouver de d�nouement sans la preuve de leur pr�sence effective au Maroc. Affaire � suivre. Amel B.