Une jeune fille, r�pondant aux initiales M. F. �g�e de 22 ans, a accus� la police de l�avoir, le 20 mars dernier, enlev�e en pleine rue et � une heure de pointe dans le chef-lieu de Sidi-Bel-Abb�s. Dans sa d�position, en date du 21 mars, elle chargera la police en racontant son pr�tendu enl�vement par 4 �l�ments en uniforme � bord d�un v�hicule de marque Nissan. Elle a dit avoir �t� emmen�e en dehors du chef-lieu, plus pr�cis�ment dans un lieu d�sert � cette heure, le lac de Sidi-Mohamed-Benali, avoir �t� retenue jusqu�� 22h30 et d�lest�e d�une bombe lacrymog�ne et d�une somme d�argent d�un montant de 2500 DA. Aussit�t la plainte enregistr�e, la police d�clenche une enqu�te qui va d�molir l�accusation de cette derni�re puisqu�� l�heure pr�tendue de son enl�vement, les �l�ments de la BMPJ, soulignera la charg�e de la cellule de communication, n��taient pas en service et aucun v�hicule n��tait dehors, affirmation qui fera faire volte-face � la �victime� qui avouera avoir mont� ce sc�nario pour cacher � ses parents sa sortie avec deux jeunes hommes en l�occurrence les nomm�es S. B. (31 ans) et Z. A. (29 ans) et sa pr�sence dans un appartement sis � Sidi-Djilali. La jeune fille a �t� pr�sent�e devant le procureur de la R�publique de Sidi-Bel-Abb�s qui l�a plac�e sous mandat de d�p�t pour le chef d�inculpation d�nonciation calomnieuse. Les faux agents de la Sonelgaz avaient une arme � feu Les services de police ont arr�t� derni�rement trois personnes en l�occurrence les nomm�s B.S. (33 ans), F.A.A. (28 ans) et W.Z. (31 ans) accus�es de vol sous la menace d�arme � feu � savoir un revolver. Le 25 mars dernier, un homme r�pondant aux initiales F.B. (41 ans) a d�pos� plainte contre trois individus aupr�s des services de la 7e S�ret� urbaine du chef-lieu de Sidi-Bel-Abb�s, qui se seraient, d�apr�s ses d�clarations, pr�sent�es en son absence chez lui comme �tant des agents de la Sonelgaz venus effectuer des travaux. Sur les lieux, ces derniers avaient trouv� l��pouse qui �tait seule ce jour-l� et lui auraient sous la menace d�une arme � feu, dira la victime, subtilis� 27 millions de centimes. L�enqu�te diligent�e par la police et les investigations men�es au domicile des mis en cause ont, certes, r�v�l�, indique la charg�e de la cellule de communication, la pr�sence d�une arme � feu chez l�un des pr�venus ; quant � la somme pr�tendue avoir �t� subtilis�e, elle n�a pas �t� retrouv�e. Les 3 mis en cause ont �t� d�f�r�s dans la journ�e du 27 mars devant le procureur de la R�publique pr�s le tribunal de Sidi-Bel-Abb�s.