L��tablissement hospitalier D. B. Benzerdjeb de A�n-T�mouchent a abrit� les 7 et 8 novembre 2007 les 1res journ�es internationales de m�decine interne, organis�es par le club des m�decins de A�n-T�mouchent, en pr�sence d��minents professeurs �trangers et nationaux. Selon Bensa�d Mohamed, un des organisateurs de ce colloque scientifique, le but de ces journ�es est d�arriver � prescrire une ordonnance ad�quate � des maladies telles que les maladies du c�ur, le diab�te, l�ACV, l�allergie et l�hypertension. L�interlocuteur avance que 50% des malades connaissent leur maladie alors que les 50% restants ne veulent pas l�identifier, la consid�rant comme tabou et vivent avec. Le professeur B. Vaisse, chef d�partement HTA la Timon (France), consid�re que l�hypertension art�rielle est encore inconnue chez certains et il faut l�identifier pour lui prescrire un traitement ad�quat. Il existe l�hypertension masqu�e et celle li�e � la blouse blanche, 2 types de HTA r�sistantes auxquelles il faut se r�f�rer � un sp�cialiste. En France, il y a plus de 3 millions d�hypertendus, le traitement m�dical s�effectue au moyen de trois m�dicaments que sont le Lasilix, le loxen et le Captoril. Tout � tour, les professeurs B. de Waziers (Nimes), Dr Nibouche et Dr Demmene d�Alger ax�rent leurs interventions sur le risque cardiovasculaire de l�ob�sit� et du diab�tique, ainsi que sur la prise en charge du syndrome m�tabolique. Les docteurs conseillent les praticiens pr�sents de ne pas prescrire un traitement en vue de diminuer le poids ou la glyc�mie chez un patient hypertendu mais de lui faire baisser la pression art�rielle qui est plus importante � ce stade du fait que le HTA majore ces risques, raison pour laquelle ils pr�conisent l�utilisation de l�appareil d�automesure surtout pour les sujets �g�s. Quant � la strat�gie th�rapeutique face au diab�te, le cholest�rol et la HTA, les conf�renciers conseillent les patients de modifier leur mode de vie et m�me leur alimentation en vue de diminuer un tant soit peu les facteurs de risque de ces maladies. A noter que le ministre de la Sant�, Amar Tou, a assist� � ces journ�es internationales de m�decine interne o� il a encourag� les organisateurs et participants � multiplier ces rencontres en vue d��changer les exp�riences et les connaissances dans le secteur de la sant�.