Alors que le minist�re public avait requis entre un an de prison ferme pour non-d�nonciation et cinq ans pour avoir soutenu, approvisionn� et fourni des renseignements sur les forces de s�curit� aux terroristes, les nomm�s B. H., B. S. et M. M. ont �t� condamn�s par la cour criminelle de Sidi-Bel-Abb�s, dans la journ�e de mercredi dernier, � deux ans de prison ferme, sous les chefs d�accusation de soutien et de financement du terrorisme arm�, K. R. et H. M. ont �t� acquitt�s alors que S. M. a �cop� de six mois de prison pour nond�nonciation. Le d�mant�lement de ce r�seau de soutien au terrorisme a �t� possible apr�s la reddition d�un terroriste, le nomm� S. J., le 1er novembre 2007, qui lors de son interrogatoire par les services de s�curit� avait d�clar� que son groupe avait b�n�fici� du soutien, d�approvisionnement et de renseignements de la part des mis en cause dans la localit� de Chetouane, dans la da�ra de Benbadis (Sidi-Bel-Abb�s). Les mis en cause avaient �t� d�un grand soutien pour l�activit� terroriste en lui fournissant des sommes d�argent et des informations sur les �l�ments de s�curit�. Au cours de leur interrogatoire, et devant la cour criminelle, les accus�s ont cat�goriquement ni� les faits, � l�exception de S. M. qui a reconnu avoir �t� contact� par des terroristes pour leur fournir des renseignements sur les services de s�curit� mais avait refus� de coop�rer, selon lui. A. M. Un jeune mortellement poignard� Dans la soir�e de mardi 10 juin dernier, le quartier du CPR, dans le chef-lieu de Sidi-Bel-Abb�s, a �t� le th��tre d�un drame qui a h�las co�t� la vie � un jeune homme, en l�occurrence le nomm� M. Slimane, �g� de 25 ans. Dans des circonstances que d�terminera avec exactitude l�enqu�te de la police, la victime aurait, d�apr�s nos sources, �t� poignard�e au niveau du c�ur par un autre jeune qui a pris la fuite. Evacu�e vers les UMC du CHU de Sidi-Bel-Abb�s, la victime a �t� admise au bloc op�ratoire pour une intervention, mais malheureusement, les urgentistes n�ont pas �t� d�un grand secours, pour elle vu qu�elle a re�u des coups dans une r�gion vitale du corps, � savoir le c�ur et qui, de plus, lors de son agression, a perdu beaucoup de sang sur les lieux du drame. L�on a appris en derni�re minute que le pr�sum� agresseur a �t� arr�t� par les services de s�curit�.