Selon les protestataires, depuis 2014 le problème de 9 demandes de recours, n'a pas été résolu concernant le quota de 190 logements, même situation pour le quota de 80 logements sociaux de l'année 2016. C'est toujours le flou total qui entoure les opérations de distribution des logements sociaux et les aides à la construction rurale au niveau de la commune d'Abou El-Hassen au nord de la wilaya de Chlef. Les rumeurs font leur chemin alors que des citoyens veulent interpeller non pas les responsables mais le premier responsable de la wilaya en personne pour prendre les mesures qui s'imposent afin de satisfaire leurs revendications qui se résument principalement en la distribution des logements sociaux et minimiser un tant soit peu la longue attente des demandeurs. Selon les protestataires, depuis 2014 le problème de 9 demandes de recours, n'a pas été résolu concernant le quota de 190 logements, même situation pour le quota de 80 logements sociaux de l'année 2016. Comme ils dénoncent le retard de distribution des 110 logements au niveau de la localité de Si Elouali. Les habitants ignorent le retard de des livraisons de ces logements qui sont fin prêts depuis un an et demi. Le problème de logements F2 persiste toujours. 20 logements destinés à la résorption de l'habitat précaires ont été détournés au programme de logements sociaux. Les mêmes protestataires dénoncent également la distribution de l'aide à la construction rurale d'une manière arbitraire. Selon les concernés par cet état de fait, les causes du retard restent encore peu convaincantes, donc malheureusement, ce rêve ne semble pas encore se réaliser et pourtant le besoin est visiblement pressent et présent, à chaque fois depuis plus d'un mois. La rumeur se propage parmi les concernés sur une imminente opération de distribution mais, en fin de compte, les demandeurs ne verront que l'illusion qui accentuera davantage leur désarroi. À cet égard, les habitants ont lancé un appel aux autorités concernées afin d'intervenir immédiatement pour réparer cette injustice et la marginalisation en particulier, d'assurer des logements décents aux résidents qui occupent des logements de fortune classés comme bidonville, qui ont connu une croissance et une expansion sans précédent au cours des dernières années, ce qui a aggravé le problème de la crise du logement devenu l'un des premiers points noirs sans compter les problèmes qui en découlent des opérations de distribution des logements sociaux et les aides à la construction rurale au profit des demandeurs de logements depuis des années.