Les panneaux de signalisation sont inexistants le long du CW 42A, d'une longueur de 15 km. Ce chemin passe par plusieurs localités (Beni Mansour, Iarkab, Boudjellil et Aftis) et fait la jonction entre la RN5 et la RN26. Bitumé maintes fois (2004 et 2007) sans pour autant avoir les panneaux (verticaux et horizontaux) à même d'indiquer les noms des localités, les interdictions et les passages dangereux. Par exemple, devant l'école primaire de Beni Mansour, il n'existe aucun panneau indiquant au conducteur qu'il y a une école dans les environs, ou une plaque de limitation de vitesse, à l'entrée, au centre et à la sortie du village. A la sortie d'Iarkab, il existe des virages très dangereux avec une descente glissante les jours de pluie. Le passage à niveau de Beni Mansour n'est pas gardé. Ce point sensible, bien qu'il y ait eu peu d'accidents par le passé, constitue un danger permanent pour les automobilistes qui doivent être vigilants pour ne pas être percutés par les trains. Il n'existe pas aussi de panneaux indiquant des sorties d'engins. c'est le cas de la société Baticompos. En conséquence, la circulation automobile se trouve amputée des indications rappelant le code de la route, sur le CW 42A. Les conducteurs, de ce fait, ont tendance à piétiner les règles de conduite, sous prétexte de ne pas avoir devant eux des panneaux de signalisation. Ce qui leur donnerait toute la latitude de circuler comme bon leur semble. Cependant, il est à déplorer qu'au début des années 1990, des panneaux étaient installés, mais ils ont tous été arrachés par des personnes insouciantes.