fête aujourd'hui son sixième anniversaire. Malgré son jeune âge, le quotidien a réussi à se faire une place dans l'espace médiatique national et à se faire connaître grâce à une équipe dynamique de jeunes journalistes, dont la plupart ont fait leurs premières armes au sein de la rédaction du Temps. L'équipe dirigeante, les journalistes et les techniciens voulaient dès le premier jour que le journal s'inscrive dans la durée, et aujourd'hui, grâce à un effort au quotidien, Le Temps d'Algérie a trouvé une très bonne place parmi les plus grands quotidiens algériens. En effet, malgré la saturation du créneau, il a réussi à s'imposer parmi les meilleurs titres algériens grâce à son choix de la ligne éditoriale et une stratégie qui privilégie l'information, laissant au lecteur le soin de juger et de se faire une opinion. Le Temps d'Algérie évite ainsi le commentaire superfétatoire, le dogmatisme, la tendance à juger et même à s'ériger en donneur de leçons. Il a également résisté à la tentation de verser dans le sensationnel et les faux scoops. Souvent repris par de grands journaux et des agences de presse internationales, ainsi que par plusieurs sites d'information, Le Temps d'Algérie a réussi à se frayer le chemin qu'il avait choisi en allant doucement mais sûrement. Il faut dire que la sérénité de la ligne éditoriale et la rigueur professionnelle ont mené à la confiance des lecteurs dont le nombre ne cesse d'augmenter. Il est à rappeler qu'il a été le premier journal algérien à avoir tiré à 48 pages et que ses articles continuent à être d'essence informative, loin des états d'âme et des fausses rumeurs. Le Temps d'Algérie est fortement encouragé par le propriétaire du titre, qui a toujours été présent pour encourager le journal, «jeune doyen» d'un groupe de presse qui, outre le quotidien Wakt El Djazair, étoffe l'offre éditoriale des algériens avec une télévision généraliste, Dzair Tv, et une chaîne d'informations en continu, Dzair News.