Le Temps d'Algérie boucle aujourd'hui sa troisième année d'existence. Malgré son jeune âge, le quotidien a réussi à se faire une place et à se faire connaître grâce à une équipe dynamique de jeunes journalistes. A son lancement, l'ambition était que le journal s'inscrive dans la durée, et aujourd'hui, grâce à un effort au quotidien, Le Temps d'Algérie a trouvé sa place dans les kiosques et les étals d'une bonne partie des villes et communes d'Algérie. Malgré la saturation du créneau, il a réussi à s'imposer parmi les meilleurs titres algériens, et ce, grâce à son choix de ligne éditoriale et une stratégie qui privilégie l'information, laissant au lecteur le soin de juger et de se faire une opinion. Le Temps d'Algérie évite ainsi le commentaire superfétatoire, le dogmatisme, la tendance à juger et même à s'ériger en donneur de leçon. Il a également résisté à la tentation de verser dans le sensationnel et les faux scoops. Souvent repris par de grands journaux et des agences de presse internationales, ainsi que par plusieurs sites d'informations, Le Temps d' Algérie a réussi à se frayer le chemin qu'il avait choisi en allant doucement mais sûrement. Il faut dire que la sérénité de la ligne éditoriale et la rigueur professionnelle ont mené à la confiance des lecteurs dont le nombre ne cesse d'augmenter. Il est à rappeler qu'il a été le premier journal algérien à avoir tiré à 48 pages et que ses articles continuent à être d'essence informative, loin des états d'âme, des réglements de comptes, des spéculations et des fausses rumeurs. Le Temps d'Algérie est fortement encouragé par le propriétaire du titre, qui a toujours été présent pour encourager ce journal qui souffle sa troisième bougie.