L'Assemblée populaire communale de la ville d'Akbou n'en finit pas de faire parler d'elle. Hier, le vice-président de l'APC, M. Arezki Iskounene élu sur la liste du FLN, a décidé de claquer la porte au cours d'une session ordinaire de l'APC. Six élus seulement sur les 11 que compte l'APC d'Akbou ont répondu à l'appel. Le démissionnaire a justifié son geste par «le manque de transparence» dans la gestion des affaires de l'APC, une gestion «unilatérale» et aussi les retards dans la réalisation des projets inscrits, notamment le complexe sportif, etc. Cette deuxième ville de la wilaya de Béjaïa vit, ces dernières années, une crise qui perdure au point de se répercuter très négativement sur le quotidien des citoyens. Ces derniers estiment ne pas profiter suffisamment des richesses de la commune.