img src="http://www.lexpressiondz.com/img/article_medium/photos/P130105-03.jpg" alt=""C'est un rêve de gosse qui se réalise"" / Contrairement à Ryad Boudebouz, également convoité par son club de coeur mais finalement non recruté, l'Olympique de Marseille, Foued Kadir a, pour sa part, pu réaliser son rêve. En deux temps pour le désormais ex-Valenciennois. Si cela n'avait pas pu se concrétiser cet été, c'est désormais chose faite. «Je suis tout simplement très heureux et très fier. C'est un rêve de gosse qui se réalise. Depuis tout petit je suis l'Olympique de Marseille. Je venais au stade Vélodrome avec mon père, J'ai toujours supporté l'OM», a confié le néo-Marseillais sur le site officiel du club phocéen. Pour le Martégal de naissance, «C'est quelque chose de fort de venir à l'Olympique de Marseille». «On a tous, étant jeune, rêvé de porter le maillot de l'Olympique de Marseille et aujourd'hui, je réalise un rêve. C'est exceptionnel», explique-t-il. En s'engageant avec le club olympien, l'international algérien réalise un saut qualitatif dans sa carrière: «C'est le but. Je rejoins une formation qui joue en haut du classement et qui évolue tous les ans en coupe d'Europe. Il y a de supers joueurs. Mon but est de franchir un cap et je pense le franchir avec les joueurs qui sont ici». L'objectif que caresse le milieu créatif, c'est celui de disputer la Champions League: «Ca fait rêver! Entendre l'hymne de la Champions League et porter le maillot de l'OM, ça fait rêver». Joueur polyvalent, Foued Kadir ne vient pas à l'OM pour évoluer à un poste bien défini. «Je l'ai (Elie Baup) eu au téléphone il y a une semaine ou dix jours. On a eu un échange sans insister sur mon positionnement. Il m'a simplement dit qu'il tenait absolument à ce que je rejoigne l'OM et aujourd'hui c'est chose faite», précise-t-il à ce propos. Enfin, concernant son intégration dans le groupe, il dira: «Cela s'est très bien passé car je connais pas mal de joueurs avec lesquels j'ai grandi comme Gignac ou Fanni par exemple ou que je connais depuis un moment comme Raspentino. Et puis, ce sont des joueurs que je côtoie sur les terrains depuis quelques années. L'intégration se fait donc assez facilement».