Dans une déclaration diffusée on line, la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme (Laddh), a dénoncé ce qu'elle a appelé «la dictature de l'administration» à Batna dont l'une de ses municipalités, Arris où un nouveau-né a été privé de porter le prénom Gaya. Cet incident intervient quelques semaines après la décision du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, d'intégrer 300 prénoms amazighs dans le panel des prénoms admis par les services de l'état civil de toutes les APC au niveau national. La Laddh ne compte pas baisser les bras car si le problème n'est pas réglé, elle menace de «saisir les instances internationales».