L'EN tiendra un stage en Suisse avant de s'envoler au Brésil En parcourant la liste des sparring partners de l'EN, on s'aperçoit que les trois équipes: Slovénie, Arménie et Roumanie n'ont pas le même style de jeu que les adversaires des Verts au Mondial, à savoir la Corée du Sud et la Belgique. Avec l'annonce de l'Arménie comme troisième adversaire des Verts pour les matchs amicaux de préparation du Mondial 2014 prévu au Brésil, les partenaires du capitaine Madjid Bougherra entameront leur série contre la Slovénie le 5 mars prochain à 18h au stade Mustapha-Tchaker de Blida. La sélection algérienne affrontera, par la suite, son homologue arménienne le 31 mai prochain à 18h au stade de Genève (Suisse), avant de clore ses matchs amicaux avec un troisième match le 4 juin contre la Roumanie, toujours à Genève avant de se rendre au Brésil pour disputer la phase finale de la Coupe du monde 2014. Au Mondial brésilien, l'Algérie évoluera dans le groupe H avec la Belgique, la Russie et la Corée du Sud. Les Verts débuteront le tournoi contre les Diables rouges belges le 17 juin à Belo Horizonte avant d'affronter successivement la Corée du Sud le 22 juin à Porto Alegre et la Russie le 26 juin à Curitiba. Or, en parcourant la liste des sparring partners des Verts, on s'aperçoit que les trois équipes, à savoir la Slovénie, l'Arménie et la Roumanie ont le même style de jeu que la Russie mais, pas celui de la Corée du sud ni celui de la Belgique. Bien qu'avec cette dernière, les Algériens, avec à leur tête, le directeur technique national, connaissent bien ce style. Et là, il est important de souligner que les «premiers» responsables de l'Equipe nationale, à savoir le coach Vahid Halilhodzic et le président de la Fédération Mohamed Raouraoua ont temporisé quelque peu avant de trouver des adversaires. Cette situation est due, en partie, à cette mésentente entre les deux hommes qui se sont livrés une «bataille» par presse interposée avant de se rendre à l'évidence qu'ils ont le même objectif: mettre la sélection algérienne dans de bonnes conditions pour assurer une participation honorable à cette phase finale de la Coupe du monde d'autant qu'elle se déroulera dans le pays où le football n'est pas seulement roi, mais une religion,! Ceci d'une part. D'autre part, il y a aussi cette hésitation du sélectionneur des Verts qui a rajeuni la sélection et qui, apparemment, n'a pas encore trouvé son «onze» idéal. Les changements fréquents dans la formation, dus, en partie, à quelques blessures de joueurs en cours de parcours, mais aussi à ses «choix» aussi contestables qu'incompréhensibles! Comme ce fut le cas cette fois-ci lorsqu'il a annoncé une liste de 36 présélectionnés avant de la réduire à 26 mais entre lesquels on retrouve des joueurs manquant visiblement de compétition pour ne pas dire encore vraiment out puisque blessés! De plus, c'est devenu une «tradition» chez coach Vahid de convoquer à chaque regroupement un «nouveau joueur». Cette fois-ci, il s'agit de deux éléments, à savoir Bentaleb de Tottenham et Ferhat de l'USMA. Il ne s'agit pas de la valeur intrinsèque des joueurs, mais surtout de la stabilité d'une équipe appelée à disputer une phase finale avec des matchs très rapprochés. Donc la condition physique et le temps de jeu sont des priorités à ne point négliger dans ce genre de compétition et ça, le coach Vahid le sait très bien, alors que c'est la première fois qu'il va participer à un Mondial avec une sélection nationale...