le groupe a été accroché au massif d'El Ouassaïya, aux frontières situées entre Bouchebka à Tébessa et Feryana dépendante de la région tunisienne d'El Kasserein. «Ils étaient à bord de deux véhicules 4x4 et tentaient d'infiltrer le sol de l'Algérie via la Tunisie. Mais c'est sans compter sur la force de frappe des forces spéciales embusquées sur les lieux du passage des terroristes», c'est ce que rapportent des sources sécuritaires crédibles, soulignant qu' «au moins huit terroristes ont été éliminés» durant cette opération. Nos sources confient que le groupe a été accroché au massif d'El Ouassaïya, aux frontières situées entre Bouchebka à Tébessa et Feryana dépendante de la région tunisienne d'El Kasserein. Les militaires effectuaient une opération de routine, lorsqu'ils ont détecté un mouvement suspect. Un violent accrochage opposera alors les forces de sécurité au groupe criminel. Plusieurs d'entre eux ont été blessés, nos sources avancent la neutralisation d'au moins huit terroristes. Selon toute vraisemblance, ce groupe aurait été envoyé pour mettre à exécution un plan subversif visant à déstabiliser le pays. Le groupe avait pour mission, entre autres de préparer des embuscades et commettre des attentats suicides en ciblant les édifices économiques, mais surtout les infrastructures des forces de sécurité. Un renfort impressionnant a été dépêché sur les lieux, en effet. Les forces héliportées, entrées en action pilonnent les lieux où a été localisé ce groupe tout en coordonnant les informations avec les soldats sur le terrain. Il n'est pas exclu que des militaires soient blessés durant l'accrochage. Cela dit, les autorités militaires qui avaient mis en oeuvre une stratégie de prévention depuis trois ans ont su faire face à cette incursion sans surprise. Les soldats sont préparés à cette éventualité depuis l'éclatement des prétendues révolutions en Tunisie et en Libye et les mesures indispensables avaient été entreprises à temps. L'Algérie qui n'avait jamais cessé d'avertir sur les conséquences néfastes générées par la prise de pouvoir par des islamistes en Tunisie au lendemain de l'éviction de l'ex-président tunisien Ben Ali et notamment sur les événements bouleversants qui continuent de secouer la Libye, subit aujourd'hui l'irresponsabilité des Occidentaux pressés d'instaurer un climat d'insécurité au nord de l'Afrique pour satisfaire leurs appétits! Le tour est-il venu pour l'Algérie de connaître le même sort? La machine est en marche en tout cas, le climat semble propice pour les forces occidentales, crise politique, manifestations et protestations marquent l'actualité en Algérie! Les ingrédients sont réunis pour les pro-printemps arabe! Il y a quelques jours, le ministre des Affaires étrangères russe Lavrov, confirmait les menaces qui guettent l'Algérie! Le représentant de la diplomatie russe s'exprimait lors de sa visite en Tunisie où il avait souligné la présence de quelques parties étrangères voulant mettre l'Algérie à feu et à sang à travers la commercialisation d'un printemps algérien. Ces parties, avait-il noté ont ouvert plusieurs fronts près des frontières algériennes depuis la Libye, la Tunisie et le Mali dirigés par des groupes militants. Lavrov, tout en réitérant le soutien de la Russie à l'Algérie a tenu à mettre en garde les autorités algériennes contre d'éventuelles tentatives de torpiller la sécurité et la stabilité en Algérie. L'Algérie est la cible des instigateurs du printemps arabe. Le bouillonnement interne a déjà commencé, la déstabilisation sur le front frontalier semble en marche. Un strict contrôle, des actions de recherche continuent et des ratissages aux frontières sont exigés pour prévenir et éviter toute infiltration d'éléments perturbateurs vers l'Algérie, notamment du côté de «l'abcès» le mont Chaâmbi.