Le directeur de la communication de la CAF, Junior Biyam, a assuré qu'«au plus tard, le 7 janvier, soit 10 jours avant le coup d'envoi de la CAN, les sites d'entraînement et le terrain de compétition seront aux normes». Des pelouses neuves importées d'Espagne seront posées prochainement sur le stade de compétition et les sites d'entraînement de Mongomo et d'Ebibiyin, en Guinée équatoriale à l'occasion de la CAN 2015, a annoncé la Confédération africaine de football. «Au plus tard, le 7 janvier, soit 10 jours avant le coup d'envoi de la compétition, les sites d'entraînement et le terrain de compétition seront aux normes», a déclaré le directeur de la communication de la CAF Junior Biyam à l'occasion d'un séminaire de renforcement des capacités des officiers médias des associations membres de la CAF, organisé du 8 au 11 décembre à Mbankomo (Yaoundé). Concernant la ville de Mongomo, «le stade était déjà prêt à 75%», lors de la CAN 2012 quand la Guinée équatoriale s'était dit prête à organiser à elle seule la phase finale de la CAN de cette édition. «Mais puisqu'il y avait eu une co-organisation (avec le Gabon), les travaux avaient été arrêtés», a-t-il rappelé, indiquant que la CAF est assurée de la capacité des autorités équato-guinéennes à présenter des infrastructures aux normes. «Tout sera en place et les pelouses seront aux normes», a-t-il insisté, avant de préciser qu'une fois que les pelouses seront sur le sol équato-guinéen, «on n'aura besoin que de deux semaines pour les rendre utilisables». «Les rotations ont déjà commencé. Concernant les capacités hôtelières, les équipes présentes sur le site de Mongomo seront logées selon les standards en vigueur», a assuré le directeur de la communication. Parlant spécifiquement de Mongomo qui accueille la poule C avec le Ghana, le Sénégal, l'Algérie et l'Afrique du Sud, il a rappelé que cette ville est distante de Bata, la capitale économique, de 200 km et qu'on peut rejoindre les deux villes en deux heures de voiture. Junior Biyam a ajouté que les deux villes sont reliées par une autoroute à six voies, affirmant qu' «il n'y a vraiment aucune inquiétude à avoir».