La photo de famille autour de Ramdane Djazaïri Le Club de presse Ooredoo, créé en 2006, a tenu plusieurs formations au profit des journalistes, axées essentiellement sur les TIC. L'opérateur téléphonique Ooredoo poursuit son plan de déploiement en développant son réseau téléphonique devant couvrir l'ensemble du territoire national tel que recommandé par l'Agence de régulation des postes et télécommunications, l'Arpt. C'est ce qu'a affirmé le directeur opérationnel des relations publiques et des médias, Ramdane Djazaïri, annonçant que l'opérateur Ooredoo passera à la couverture de 45 wilayas en 2016. De telles nouveautés ont été annoncées hier à partir d'Oran dans le sillage de la rencontre régionale, réunissant les journalistes de la wilaya d'Oran, autour de la thématique axée essentiellement sur la «vulgarisation sur l'utilisation de la technologie 3G». Une telle technologie est, dans les temps actuels plus qu'importante. Son utilisation n'est pas non plus des moindres vu les mutations rapides que connaissent les technologies de l'information et de la communication, les TIC. Ooredoo s'inscrit dans cette optique en harmonisant ses investissements de manière à satisfaire l'utilisateur de la téléphonie mobile. C'est ce qu'ont développé les formateurs intervenus dans la demi-journée de formation dédiée aux journalistes et qui est dans sa 53e session. Il s'agit de Bengamra Fouzia et Toufik Sahli qui sont longuement revenus sur les nouveautés et les moyens techniques qui ont été mis en place par l'opérateur Ooredoo dans le but de raccorder les utilisateurs de la téléphonie mobile dans le cadre de leurs communications en utilisant le téléphone portable. Pour les intervenants, toute une technologie de pointe est mise en place. Ooredoo, selon toujours les mêmes formateurs, s'inscrit au diapason avec toutes ces nouveautés et ces innovations en les mettant en place au seul profit de l'utilisateur de la téléphonie mobile. Idem pour les utilisateurs du réseau Internet, via la 3G. La rencontre Ooredoo-journalistes, qui a été très technique, a tout de même été riche en enseignements. Les journalistes présents en nombre, s'imprégnant de ces innovations, dont nombre n'ont pas cessé de satifaire leur curiosité en s'interrogeant sur le déploiement du réseau aussi bien téléphonique qu'Internet en faisant profiter les utilisateurs de plusieurs commodités comme la visiophonie et la navigation confortable, l'utilisation optimale des smartphones, l'accès à plusieurs applications comme la météo, la Bourse, les paiements en ligne, la connectivité en temps réel, etc. La rencontre, organisée par le club de presse d'Ooredoo, a été rehaussée auparavant par la première intervention du directeur opérationnel des relations publiques et des médias Ooredoo en revenant sur les différentes rencontres liant les journalistes à l'opérateur Ooredoo. Ce club a été créé en 2006 à l'initiative de Nedjma devenue Ooredoo. Dans le sillage de ses actions, le club a dispensé plusieurs formations au profit des journalistes, axées essentiellement sur les TIC. A la longue, il a été élargi aux échanges et aux formations en diversifiant les sujets et thématiques débattus. En tout, ce ne sont pas moins de 53 rencontres qui ont été organisées dont quatre rencontres de formations régionales. Elles ont porté sur le marketing, l'économie et les finances, la téléphonie mobile, les TIC etc. Ce n'est pas tout. Le club de presse s'est également ingénié à lancer le concours Média Star à partir de 2007. Jusque-là, 900 participants y ont pris part dont près de 200 représentants de 47 régions, ont été enregistrés lors de la dernière édition tenue en 2015. Le concours, ouvert à tous les hommes et à toutes les femmes des médias, n'est pas synonyme de la publicité à faire à Ooredoo à travers les écrits des journalistes. Ceci dit, le journaliste participant est libre de choisir le thème à traiter dans son récit en le proposant à la participation au concours. Les travaux éligibles à déposer doivent être publiés dans le support employant le journaliste. Ils peuvent être rédigés aussi bien en arabe qu'en tamazight et en langue française.