Au moins 35 personnes, dont neuf enfants, ont été tuées mardi dans une frappe aérienne qui a émis du "gaz toxique" dans une ville du nord-ouest de la Syrie tenue par les rebelles, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH). L'ONG a indiqué que les personnes étaient décédées en raison des effets du gaz, notamment par suffocation, à Khan Cheikhoun, dans la province d'Idleb, mais elle n'était pas en mesure de donner la nature de ce gaz. Des dizaines d'autres personnes souffrent de problèmes respiratoires et d'autres symptômes.