Veillée funèbre au quartier de la victime (en médaillon) L'auteur du crime, un adolescent de 15 ans, a été écroué. L'Algérie est sous le choc! Une petite fille de 9 ans a vécu un grand drame qui lui a ôté la vie. La petite Salsabil avait disparu, samedi dernier, du domicile familial dans le quartier Haï Sabah à Oran. Inquiets, les parents ont alerté les services de sécurité. Les recherches ont alors commencé et la nouvelle que tout le monde craignait tomba, hier matin. Le corps sans vie de la petite Salsebil a été retrouvé à 200 m du domicile familial, dans le quartier appelé Haï Echouhada. La victime n'a pas été seulement tuée, mais a vécu l'enfer avant de rendre l'âme. Elle a été violée à plusieurs reprises avant d'être jetée du 6e étage d'un appartement du quartier. La bête immonde qui a fait subir tous ces sévices à Salsabil a été arrêtée. C'est un adolescent de 15 ans. Le meurtrier, un voisin, a, avec un sang-froid qui donne froid au dos, participé aux recherches avec le reste du voisinage. La famille de la victime demande l'application de la peine de mort; une enquête a été ouverte, l'affaire est à suivre. La petite fille de Tiaret, disparue depuis le début du mois en cours, reste quant à elle introuvable. Sa famille, ses proches et les habitants de toute la région commencent à perdre espoir. Le travail de recherche, mené à la fois par les services de sécurité (police et gendarmerie) et les citoyens, n'a abouti à rien. Un appel à témoins a été lancé. Au fil des jours, l'espoir de la retrouver vivante s'amenuise. Après presque un mois d'investigations, les services de sécurité ne sont sur aucune piste sérieuse. Sa disparition reste énigmatique. La dernière fois que les membres de sa famille l'ont vue, c'est lorsqu'elle a quitté le domicile familial pour aller dans un magasin situé à quelques pâtés de maisons. Khenna Ikram avait l'habitude de faire des achats pour sa mère chez l'épicier de la cité Tefah, au chef-lieu de wilaya de Tiaret. Mais ce 29 juillet, elle n'est pas revenue. Le kidnapping d'enfants est devenu un phénomène qui inquiète de plus en plus la société algérienne. L'Etat a renforcé le dispositif juridique de protection de l'enfance. De très lourdes peines allant jusqu'à la perpétuité, sont prévues par le nouveau Code pénal amendé en 2016. Mais cela ne semble pas dissuader ces monstres qui s'attaquent à l'innocence.