La forêt située au lieu-dit Ravin de la femme sauvage au Ruisseau est livrée à une bande d'individus qui l'ont investie et s'y sont installés de manière illégale. Selon les habitants de la cité Coopemad de Kouba, située non loin de là, cette bande a pris possession des lieux et a même commencé à y construire des taudis, allant jusqu'à couper des arbres centenaires qui font la renommée de ce bois. Tout cela se déroule, apparemment, sans qu'aucune autorité ne daigne lever le petit doigt pour protéger un patrimoine collectif.