J'ai été victime d'un 2e accident du travail le 24 février 2008 qui m'a valu la fracture du fémur droit. J'ai bénéficié alors d'une plaque vissée sur un membre inférieur malade opéré 8 fois. Depuis l'intervention, je n'ai pas cessé d'avoir des douleurs trochantériennes chroniques et des difficultés à me déplacer. Des complications post-opératoires confirmées par l'IRM du 24/02/ 2009. L'éminent chirurgien Aït Ourab et l'éminent rééducateur Yataghene (le 1er à découvrir mon mal) et l'expertise de la Cnas d'El-Hamma de Belouizdad du 4 avril 2009 certifient que je ne serai consolidée qu'après l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Le contrôle médical de la Cnas d'El-Hamma se précipite à me consolider le 31 mai 2009 ignorant l'IRM et les décisions prises auparavant. Effectivement, le 10 octobre 2009, je subis l'ablation du matériel sur tendinopathie. Mon état s'améliore, je me débarrasse des béquilles et je reprends le travail le 3 janvier 2010. Me voyant obligée de demander une autre expertise pour justifier les prolongations d'arrêt de travail du 1er juin 2009 au 2 janvier 2010, je constate que l'expert qui a confirmé mon accident du travail le 6 novembre 2008 et suivi l'évolution de ma maladie le 4 avril 2009 ne figure pas sur la liste des experts à consulter. Pourquoi ? L'expertise de Douéra du 2 décembre 2009 maintient la date de consolidation du 31 mai 2009. Expliquant que les douleurs étaient dues au froid. Qui dit vrai ? Selon la Cnas d'El- Hamma, je dois déclarer l'ablation du matériel comme rechute pour être indemnisée suite à cette intervention chirurgicale. Est-il juste de remettre en doute une expertise déjà prononcée et éloigner le malade de l'expert qui l'a suivi juste pour le dissuader et ne pas l'indemniser ? L.C P.E.S anglais El Makaria (ex-Leveilley)-Alger