Les Sanafir maintiennent leur vitesse de croisière. Ils viennent d'aligner leur quatrième victoire et s'installer du coup en solo dans le fauteuil de leader après le faux pas de HBCL à domicile devant le CBA. Désormais, le CSC compte 2 points d'avance sur son poursuivant immédiat. Deux longueurs qu'il faut préserver, bien sûr. Même si la manière n'y était pas vendredi passé contre le MCEE, l'essentiel était de glaner les points du match. Maintenant, le Corse Bracci dira : “Il reste beaucoup de travail à faire dans l'équipe. Cependant, le plus important pour l'heure c'est de gagner”. Il est vrai que le challenge de la National II exige d'abord des résultats sur le terrain quitte à ce que le CSC “trime” à chaque match. Après l'alerte “donnée” dans le compartiment du milieu faute d'un porteur d'eau, la ligne d'attaque aura été la cible, cette fois-ci, de supporters qui n'ont pas reconnu leur force de frappe. Quoi qu'il en soit, le coach promet des corrections, question de maintenir une stabilité dans l'équipe type, même si le banc de touche offre d'autres variantes. En définitive, le CSC est leader provisoire à l'issue de cette quatrième journée. Le wali à la rescousse Sommée de s'acquitter d'un dû de 5 milliards et six cent millions de centimes, relevant notamment du fisc, la direction clubiste aura sollicité le wali pour allégement des créances. Ainsi, celui-ci selon le président Khaïabi, interviendra incessamment pour trouver une issue favorable à ces dettes, se traduisant par un échéancier de payement. N. H.