Maghnia Crime à l'arme blanche Un crime qui a mis en émoi la population maghnaouie a eu lieu mercredi en fin d'après-midi dans la cité ETM. C'est un jeune de 21 ans qui a asséné 3 coups de couteau meurtriers à un autre jeune connu pour être un repris de justice. Selon des témoignages de citoyens habitants dans le quartier El-Hamri, à l'origine de cet assassinat, des différends relatifs à la construction illicite pour lesquels des bandes rivales se déchirent pour mettre main basse sur les terrains. L'assassin qui a pris la fuite a été identifié par la police et est actuellement activement recherché. AMMAMI Mohammed AIN TEMOUCHENT Il grimpe sur un poteau électrique et tente de se suicider H. A., 27 ans, est sorti, dans la nuit de mercredi à jeudi, du domicile de ses parents au quartier Haï El-Badr, avec l'idée de mettre fin à ses jours. Il était donc près de quatre heures. Il grimpa sur un poteau électrique situé à proximité du domicile parental. Alertés à temps par le voisinage et certainement par des proches, les éléments de la Protection civile se sont rendus sur les lieux et ont pu sauver le jeune homme en réussissant à le convaincre de renoncer à son geste désespéré. Il est donc redescendu du haut du poteau, au grand bonheur de ses parents. Une tentative de suicide avortée in extremis puisque le jeune homme aura échappé à une électrocution, mais qui a suscité des interrogations sur le mobile qui a poussé H. A. à opter pour ce geste extrême. Selon certaines indiscrétions, le père aurait déclaré que son fils souffrait de troubles psychiques après avoir été victime d'un sort démoniaque. Il a été évacué par les éléments de la Protection civile vers les UMC de l'hôpital Ahmed-Medaghri d'Aïn Témouchent pour être examiné. En tout état de cause, la sûreté de wilaya a ouvert une enquête. M. LARADJ Mascara Opérations de démolition sans heurts À l'instar des autres agglomérations, plusieurs localités relevant de la wilaya de Mascara ont été gangrenées par les opérations relatives aux constructions illicites, à l'habitat précaire et aux immeubles menaçant ruine. Dans le cadre de la lutte contre ces cas assujettis aux fléaux, les autorités locales ont entrepris une vaste opération visant à assainir la situation. Ainsi, après avoir épuisé toutes les voies réglementaires en vue d'une solution à l'amiable, le passage à l'acte en ayant recours à la force publique s'est avéré nécessaire. Toutefois, les instances locales ayant pouvoir de décision avaient redouté la réaction des populations en général et des indus occupants en particulier, après l'usage de la force. Dans ce contexte, force est de mettre en évidence la méthode d'intervention des agents de la force publique qui sont parvenus à convaincre les principaux concernés de la nécessité de telles interventions tout comme il faut souligner la compréhension des populations qui ont positivé en dépit de leur frustration. En effet, que ce soit à Mamounia pour 54 cas, à Sidi Kada où il a été recensé 40 habitations illégales ou à Sig pour plus de 80 occupants illégaux, les opérations de démolition ont été effectuées sans le moindre incident, ce qui dénote le nouvel état d'esprit des populations. A. B.