Le 1er Salon du mariage ouvrira ses portes du 28 au 30 avril 2011, sous le chapiteau de l'hôtel Safir-Mazafran, à Zéralda. Organisée par Dzevents, une entreprise d'organisation de manifestations économiques, scientifiques et culturelles créée dans le cadre de l'Ansej, “cette première édition sera l'événement incontournable dédié aux futurs mariés et aux professionnels du secteur du mariage”, nous expliquera Mlle Samira Houari, directrice de Dzevents. Elle soulignera que “c'est un salon idéal pour faire rêver, éveiller la curiosité des futurs mariés et répondre à leurs attentes”. Pour l'organisatrice, cet événement a pour objectif de faire connaître le concept d'organisation du mariage déjà créé et adopté voilà plusieurs années par plusieurs pays de l'Orient comme de l'Occident, assuré à titre collectif par des agences événementielles spécialisées ou à titre individuel par l'organisateur du mariage, un moyen très pratique et très recommandé pour les futurs époux, ainsi qu'à leur famille, leur permettant un gain de temps dans la recherche des prestataires, tout en respectant leurs moyens financiers et, surtout, vivre pleinement et en toute sérénité le jour de la fête. Aussi, le salon devient un rendez-vous national et annuel incontournable de la qualité du design, de la nouveauté et du raffinement et inciter les professionnels du mariage à l'évolution, à la création et à la modernisation. Parmi les objectifs, la création de salons régionaux du mariage pour les visiteurs locaux ne pouvant se déplacer vers la capitale, et pour les professionnels du mariage, c'est le meilleur investissement pour communiquer et se faire connaître auprès d'une clientèle régionale très portée sur le sujet. Quant au but principal du Salon du mariage 2011, “c'est de créer l'événement en s'affirmant comme un salon dynamique qui inclut une meilleure interactivité entre les exposants présents pendant toute la durée du salon et le public, dans un espace plus familial et plus convivial adapté aux nouvelles attentes des futurs mariés”, conclut Mlle Samira Houari.