Ouargla Djiar inspecte plusieurs projets ll Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Hachemi Djiar, a effectué une visite d'inspection et de travail, dimanche, dans la wilaya d'Ouargla, où il s'est enquis de l'état d'avancement de l'ensemble des programmes relevant de son département dans cette wilaya, notamment le projet d'aménagement du stade municipal dans la daïra de Mégarine et le projet de réalisation d'un nouveau stade à la cité El-Moustakbal (daïra de Touggourt), qui est d'une capacité de 10 000 places. Le premier responsable du secteur a également inauguré une maison de jeunes et il a posé la première pierre pour la réalisation d'une autre maison de jeunes dans la daïra de Timacine. Ammar Dafeur Après l'Agression de leur camarade Les collégiens de Bordj Mira ferment la RN9 ll Les élèves des CEM de la localité de Bordj Mira, dans la wilaya de Béjaïa, ont procédé la matinée d'hier à la fermeture de la RN9 reliant Béjaïa à Sétif, à l'entrée du viaduc de la localité. Ils ont réclamé l'arrestation d'un homme qui avait agressé à l'arme blanche un de leurs camarades. La victime, un élève dans un CEM de la localité, a été poignardée récemment par un homme originaire de la région. Transféré à l'hôpital où il se trouve toujours, ses jours ne sont pas en danger, a-t-on indiqué. Mais c'est plutôt l'attitude des services de sécurité, qui “n'ont pas arrêté l'agresseur”, qui a poussé les collégiens, a-t-on expliqué, à investir la rue pour exiger son arrestation et dénoncer l'insécurité régnant à proximité de leur établissement. Pour rappel, en 2009, dans la commune voisine d'Aït Smaïl, une jeune collégienne a été mortellement poignardée par un repris de justice à proximité du CEM où elle poursuivait sa scolarité. M. A. LAGHOUAT L'Unpef appelle à une journée de protestation ll Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, l'Union nationale des professeurs de l'éducation et de la formation (Unpef), bureau de Laghouat, exhorte l'ensemble des personnels relevant de la fonction publique à réussir la journée de protestation prévue pour demain, mardi 17 avril. Etayant son appel à la grève, ce syndicat autonome a dénoncé la non-prise en charge de ses revendications en matière salariale. Pour appuyer son appel, l'Unpef a dénoncé la non-application du décret exécutif n° 28/95 dont ils réclament non seulement l'intégralité de l'application, mais aussi sa généralisation à l'ensemble des personnels de l'Education qui exercent dans les régions du sud du pays. Il réclame également le bénéfice de l'indemnité d'excellence fixée par le décret n° 300/95, sur la base du nouveau salaire de base, lit-on dans la déclaration largement vulgarisée dans la wilaya de Laghouat. En outre, les représentants syndicaux ont revendiqué l'actualisation de l'indemnité de zone et son calcul sur la base du nouveau salaire de base au lieu de ceux de l'année 1989. Les frais de voyage et frais de mission font partie également des droits formulés par l'Unpef. Frais que ce dernier considère plus que dérisoires, dont les montants sont, à ses yeux, très loin de suivre l'évolution du pouvoir d'achat. Brandissant la menace d'un débrayage, selon sa déclaration, l'Unpef se dit décidée à radicaliser son mouvement, se mobiliser jusqu'à obtenir gain de cause et faire aboutir ses revendications. Suite à l'appel de l'Unpef, il a été convenu d'organiser une journée de protestation intersyndicale le 17 avril, rapporte l'Unpef dans un communiqué qu'elle a rendu public. Décision a été prise à l'issue de la réunion du 4 avril, motivée par le fait qu'aucune réponse n'a été donnée aux revendications de ces travailleurs, selon des sources syndicales. BOUHAMAM AREZKI Cherchell Quatre personnes d'une même famille mortes par asphyxie ll Une famille de quatre personnes, deux sœurs âgées de 19 et 16 ans et deux frères âgés de 8 et 14, a été retrouvée morte, avant-hier, par asphyxie en son domicile sis au Petit-Port, soit à 1 km du centre-ville de Cherchell, indique une source autorisée de Tipasa. Selon la protection civile de cette localité, la mort tragique est due à des fuites de gaz naturel dégagé par le chauffe-bain installé dans la cuisine. Les corps des victimes ont été évacués à la morgue de l'hôpital de Sidi Ghilès, affirme la même source. B. BOUZAR