Le nouveau-né de VW décline des blocs essence TSi de 85 ch et 140 ch, alors que le TDi 1.6 de 105 et 150 ch seront prochainement dévoilés. Y compris une version GTI. C'est sans doute la star de ce Mondial de Paris, ouvert samedi dernier au grand public. La Golf VII a produit un défi : celui “de dessiner une Golf, reconduire un langage sans se répéter". Les designers allemands sont là, faisant fièrement face aux questions-réponses pour tout expliquer. C'est sans doute le designer du modèle, Walter De Silva, qui aura compris que la Golf sera toujours là pour perpétuer une légende. Plus dynamique, silhouette plus sportive, plus spacieuse que la version VI, ses mensurations (une longueur augmentée de 6 cm (4,26 m), un empattement plus long de 6 cm aussi (2,64 m) et une hauteur baissée de 2,8 cm), à elles seules suffisent pour comprendre où va la Golf. Avec une meilleure habitabilité et un coffre une capacité de 380 litres contre 350 pour sa précédente, son intérieur est plus que jamais soigné en finitions et confort. Tout a changé ou presque, c'est selon les regards des uns et des autres, la critique n'est pas aussi permise sur son nouveau volant, sa console centrale et son large écran tactile. La Golf VII est également basée sur la plateforme MQB du groupe VAG, et pèse moins de 100 kg sur certains modèles. Côté motorisation, le nouveau-né de VW décline des blocs essence TSI de 85 ch et 140 ch, alors que le TDI 1.6 de 105 et 150 ch seront de la partie. Cela va sans dire que cette légende bénéficie d'une panoplie d'équipements, comme Lane-Assist, le Park-Assist, le freinage automatique en ville, l'avertisseur d'angle mort ou encore le système de lecture de panneaux. En attendant son arrivée en Algérie, dans toutes ses versions, l'équipe de Sovac, présente au Mondial de Paris, est également invitée à un événement mondial de Porsche. Les détails exclusifs, dans la prochaine édition. F. B.