Selon le directeur technique national de handball, Abdelaziz Benmeghsoula, le nouveau sélectionneur national sera présenté à la presse la semaine prochaine lors d'une conférence de presse. Néanmoins, cela ne s'effectuera qu'après la tenu de la réunion du bureau fédéral. “La question ayant trait à l'identité du nouveau sélectionneur national a été désormais tranchée. Comme je vous l'ai déclaré auparavant, l'entraîneur national sera Algérien, mais pour le moment je ne peux rien divulguer, je pourrai juste vous dire que l'entraîneur sera présenté à la presse la semaine prochaine après, bien sûr, la réunion du bureau fédéral", affirme Benmeghsoula. En outre, dans une déclaration à l'APS, le secrétaire général de la Fédération algérienne de handball (Fahb), Aziz Aït Dib a affirmé qu'une réponse sera transmise dans les prochains jours à la Fédération internationale (IHF), suite à sa décision de ne pas reconnaître le nouveau président de la Fahb, Mohamed Aziz Derouaz. “Une lettre commune regroupant la fédération, le ministère de la Jeunesse et des Sports, et le Comité olympique algérien est en train d'être préparée pour répondre à la décision de l'IHF. Nous devons passer par la voie réglementaire, et nous sommes même prêts à saisir le tribunal arbitral du sport à Lausanne s'il le faut", a affirmé le n°2 de la Fahb. L'IHF a adressé une correspondance au Comité olympique algérien (COA) dans laquelle elle l'informe qu'elle ne reconnaîtra pas le nouveau bureau fédéral de la Fahb, présidé par M. Derouaz et élu le 14 mars dernier, accordant un délai de 3 mois à la Fédération algérienne pour organiser une nouvelle assemblée générale élective (AGE). L'instance internationale, présidée par l'Egyptien Mustapha Fahmi, a menacé la Fahb de “sanctions" dans le cas où elle ne se plierait pas à ses doléances. Parmi les griefs retenus contre la Fahb, mais aussi le ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS), la décision de la tutelle de nommer un nouveau secrétaire général de la fédération “sans prendre l'aval de l'instance fédérale", ou encore l'“exclusion" de l'ex-président, Djaâfer Aït Mouloud, de la course à la présidence pour un nouveau mandat, lui qui a été déclaré “inéligible". Nom Adresse email