Deux cent trente-huit firmes nationales et étrangères de 28 pays prendront part à la 19e édition du Salon international du mobilier hospitalier et de l'équipement médical (Simem) au Centre de conventions d'Oran (CCO) du 13 au 16 avril, "dans la perspective de faire de ce rendez-vous une vitrine privilégiée des innovations biomédicales et techno-médicales", a annoncé, hier à Oran lors d'un point de presse, Mustapha Chaouche, consultant de Krizalid Or qui organise cet événement. Signe de l'importance évolutive technologique des sciences de la santé, le matériel et les produits pour les laboratoires d'analyses ainsi que les équipements d'imagerie médicale seront présents en force à cette édition. Les firmes provenant du Japon, des USA, d'Allemagne, d'Italie, de France, d'Inde, de Belgique, de Turquie, d'Espagne, du Canada, d'Angleterre et de Suisse verront leur surface d'exposition augmenter de plus de 25% par rapport à l'édition précédente, selon la même source. Les opérateurs algériens représentés par 60 firmes sont concernés par le mobilier médical, de fabrication nationale ou d'importation, à l'effet de répondre aux besoins de plus en plus exigeants des hôpitaux et des cliniques opérationnels ou en voie de réalisation dans le pays. La nouveauté de cette 19e édition du Simem réside dans la présence des DSP de l'ouest du pays et de l'EHU d'Oran qui fera l'objet d'une communication relative au fléau des accidents vasculaires cérébraux (AVC), 40 000 nouveaux cas par an en Algérie. Seul accident de parcours, l'absence des producteurs et autres fabricants de médicaments au profit de l'instrumentation médicale. Des partenariats seront également conclus avec des firmes chinoises et turques en matière de création et de maintenance de plates-formes médicales, les appareils de mesure ainsi que le traitement des déchets hospitaliers. Le Simem se propose de présenter une large variété de produits et d'équipements médicaux provenant de multiples pays tout en facilitant les conclusions de partenariat win-win entre les opérateurs étrangers et les opérateurs algériens, a-t-on ajouté. K. REGUIEG-ISSAAD