Lors de l'arrivée du président roumain à l'aéroport international d'Alger, les photographes de la presse publique algérienne ont été interdits d'accès à la piste d'atterrissage. Il est de coutume que nos photographes et cameramen soient autorisés à couvrir des événements de ce genre. À la surprise générale, seul le photographe d'une agence étrangère a été autorisé à accéder au tarmac pour prendre les portraits des présidents algérien et roumain. Nos photographes sont-ils à ce point indésirables ?