MOSTAGANEM Réunion des recteurs de L'Ouest L'Université centrale Abdelhamid-Ibn-Badis a abrité une rencontre des recteurs de l'ouest algérien avec la participation de 13 établissements universitaires. Les travaux ont été axés sur la préparation de la nouvelle rentrée universitaire, le système LMD et son évolution, les bourses des étudiants ainsi que divers points d'ordre organisationnels. Il est à préciser que cette rencontre s'est déroulée auparavant dans la capitale de l'Ouest, El Bahia. Sidi belattar Encore un problème d'eau La commune de Sidi Belattar, située à quelque 26 km du chef-lieu de wilaya de Mostaganem, dispose d'immenses potentialités qu'elle ne peut exploiter faute de ressources hydriques. La commune de Sidi Belattar regroupe 19 douars s'étalant sur une superficie de 88,44 km2 avec une population de 7 646 âmes qui souffre de l'énorme déficit en eau. Un déficit que même le projet de MAO (Mostaghanem,Arzew et Oran), qui tarde à se concrétiser, ne peut combler. En attendant de meilleurs jours, la distribution de l'eau potable se fait un jour sur trois et ce, y compris pour les douars Ouled Bettahar, Khoussa, Chouaka, Souana et Kedadra qui sont raccordés à l'unique forage de Sour. Consommtion Le prix de la viande congelée en hausse À l'instar des autres régions du pays, les consommateurs continuent pour la plupart de boycotter la viande blanche, en particulier le poulet, alors que les vendeurs de viande congelée enregistrent un flux important. Pour certains, le fait que des cas aient été enregistrés au Niger, la menace de la grippe aviaire frappe à nos portes. Pour d'autres, le retour des oiseaux migrateurs dans les tout prochains jours constitue une véritable alerte qui nécessite un dispositif de prévention efficace. D'autant qu'à Mostaganem, le danger existe en raison de l'implantation de la zone humide d'El Macta, prisée par les oiseaux migrateurs qui y séjournent. MEDJADJI M. TISSEMSILT Bordj Bounaâma a soif Les habitants de Bordj Bounaâma ont soif en plein hiver. En effet, l'eau siffle aux robinets entre 30 et 40 mn tous les 3 ou 4 jours. Pis encore, les robinets des habitants des “étages” demeurent à sec. Ces derniers sont contraints de faire la queue devant leurs voisins du rez-de-chaussée pour se ravitailler en eau sinon, ils sont dans l'obligation de se regrouper tôt le matin devant la fontaine publique située à la sortie est de la daïra sur le CW5 ou de parcourir des dizaines de kilomètres à la recherche de ce liquide vital. Les autorités locales attribuent cette pénurie à la précarité du réseau qui n'a pas été rénové depuis des dizaines d'années. Selon les mêmes responsables, le problème trouvera des solutions progressivement dans les jours à venir, notamment après le lancement d'un projet sectoriel de rénovation sur 7 km, en attendant le rattachement de la daïra au réseau AEP à partir du barrage de Kdiète Rosfa dont les travaux de ramification sont en cours. BOUDIAF EL HADJ