Les quarts de finale prévus initialement pour le 6 avril prochain ont été reportés à une date ultérieure, affirme une source proche de la commission d'organisation. En revanche, les deux matches en retard de la coupe, ESG-JSK et USMA-USMAn, prévus au début pour demain, ont été maintenus à cette date (le 6 avril), après leur report par la commission de la FAF. Selon notre source, le programme complet des quarts de finale sera joué visiblement le 4 mai, date initialement réservée pour les demi-finales. Les demi-finales et la finale devraient avoir lieu à la fin du championnat pour permettre justement à cette dernière compétition de prendre fin à la date prévue, c'est-à-dire le 25 mai. La LNF et la FAF devraient donc apporter en concertation quelques modifications au calendrier des compétitions qui sera rendu public incessamment. En tout état de cause, la programmation de la fin du championnat ne sera pas tellement chamboulée. À noter que le mois d'avril ne comptera que deux journées du championnat, à savoir la 26e le 13 avril et la 27 e le 27 avril. En revanche, c'est vraiment là un casse-tête pour des équipes comme le PAC, le CRB ou encore le CABBA, éliminées en Coupe d'Algérie et non concernées par une compétition internationale. En effet, ces formations, après avoir joué la journée de jeudi prochain, ne disputeront que deux rencontres au mois d'avril. Pis, le CSC, qui ne pourra pas jouer son match jeudi contre l'ASO, en raison de la participation des Chélifiens à la Coupe de la CAF, doit observer une trêve jusqu'au 13 avril. Or, les fréquentes cassures en matière de programmation sont fort pénalisantes pour les équipes et le mieux serait d'arriver à un calendrier équilibré qui bannit surtout les reports des matches. Ces reports sont justement source de désagréments pour le reste du parcours. Il faut dire aussi, par ailleurs, que les tentatives de la LNF d'associer les clubs à l'établissement du programme des compétitions ont toujours buter sur l'indifférence des dirigeants. Les rencontres prévues à cet effet sont souvent boycottées par leur majorité. S. B.