MASCARA Visite de juges soudanais Dans le cadre des échanges dans le domaine judiciaire entre l'Algérie et le Soudan, deux juges soudanais séjournent à Mascara pour se perfectionner et prendre connaissance des procédures opérées par leurs confrères. Les hôtes de la cour ont assisté à une session de la cour criminelle en qualité d'observateurs. Chasse ou braconnage ? Censée être une partie de plaisir, la chasse prend l'allure de braconnage dans la wilaya de Mascara au cours de laquelle les amateurs font usage de leurs cartouches pour tuer un maximum de gibier, notamment le lapin et le porc-épic. Si jadis ces amateurs rentraient bredouilles ce n'est pas le cas ces derniers temps où une seule gibecière s'avère insuffisante. Opgi : 26 milliards de loyers impayés Le bilan de l'Opgi de la wilaya de Mascara fait ressortir la somme de 26 milliards de centimes relatifs aux loyers impayés. Dans ce contexte, une vaste opération de recouvrement de ces créances a été lancée et en une semaine les agents de l'office ont pu recouvrer la somme de 6 milliards, une aubaine pour la trésorerie de l'Opgi qui a décidé d'ester en justice les récalcitrants. Aussi, 250 locataires sont sommés de procéder à la régularisation de leurs arriérés sous peine d'expulsion. L'ADE prend en charge la gestion de l'AEP Dans le cadre des missions qui lui sont attribuées, l'Algérienne des eaux a décidé de prendre en charge la gestion de l'AEP de toutes les communes relevant de la wilaya, une mission confiée aux APC. Ainsi, les élus locaux seront déchargés d'une tâche lourde de conséquence eu égard à l'épineux problème que rencontrent les citoyens. A. B. Relizane D'espace boisé en dépotoir ! “Un terrain situé à proximité de l'hôpital Mohamed-Boudiaf de Relizane, destiné à servir d'espace boisé, a été transformé par les riverains et les auto-constructeurs en véritable dépotoir”, déplorent les adhérents de l'Association de protection de la nature dans une requête adressée aux responsables locaux. Les écologistes rappellent que ce terrain accidenté, de près de quatre hectares, a été affecté depuis près de deux ans, dans le plan de lotissement de cette partie de la ville, en qualité de lieu récréatif destiné tant aux patients qu'aux riverains. “La lenteur des pouvoirs publics à créer cet espace boisé, pourtant décidée de longue date, a laissé la voie libre aux vandales qui l'ont transformé en une décharge sauvage, malgré la proximité de l'hôpital”, s'insurgent les écologistes qui soulignent que “plus le temps passe, plus les tonnes de gravats qui s'accumulent de jour en jour seront difficiles à éliminer, et plus l'image de la ville pâtira de cette atteinte à l'environnement” . M. S.