AIN DEFLA PLUS DE 1 000 POSTES CREES EN 2006 Suite aux orientations de la 4e conférence des ministres africains du Nepad sur la Fonction publique, des journées portes ouvertes sur le secteur de la Fonction publique ont été organisées au niveau du CIAJ du chef-lieu de wilaya d'Aïn Defla. Ces journées portes ouvertes, selon les organisateurs, visent à présenter les différents modes de fonctionnement, de recrutement, les droits et obligations du fonctionnaire de la Fonction publique. Ainsi, l'inspection de la Fonction publique de la wilaya d'Aïn Defla compte 27 591 travailleurs dont 19 706 titulaires, 5 417 contractuels et 2 346 vacataires répartis selon leur qualification comme suit : 4 804 encadrements, 9 921 maîtrises et 12 869 exécutions. 19 164 personnes travaillent dans les directions, 4 292 dans les entreprises publiques administratives (EPA) et 4 138 dans les communes. Selon le directeur de la Fonction publique de cette wilaya plus de 1 000 postes de travail permanent ont été créés durant l'année 2006 dans la wilaya de Aïn Defla avec le secteur de l'éducation en tête de liste des recruteurs avec 515 recrutements suivi des communes avec 411 recrutements. Moha B. Larbaâ nath irathen route attend désespérément revêtement à aboudid Quels critères devraient prendre en considération les pouvoirs publics pour décider du revêtement d'une route ? Lancinante question lorsqu'il s'agit de la route d'Aboudid, reliant la ville de Larbaâ Nath Irathen au chef-lieu communal d'Aït Aggouacha sur une distance de trois kilomètres. En effet, ce chemin (piste aurait été un mot plus juste) desservant aussi le village de Taguemount Ihadaden et la localité d'Aboudid avec sa zone d'activité, ses cités résidentielles et son CEM, est dans un état lamentable depuis plus de 7 ans : crevasses, nids-de-poule, absence d'accotements, etc. La dégradation de cette route est telle que, plus de vingt transporteurs des voyageurs activant sur la ligne Aït Aggouacha-Larbaâ Nath Irathen ont dû fermer, il y a trois semaines, l'accès aux usagers sur ce tronçon pour attirer l'attention des autorités locales et voir les sillons les plus flagrants qui lézardent la chaussée colmatés. Un traitement qui ne survivrait pas aux premières pluies automnales, pense-t-on sur place. A. B.