sétif 40 logements participatifs en chantier Cela fait presque une année que les souscripteurs des 40 logements sociaux participatifs situés à la cité des 1006-Logements attendent l'achèvement des différents travaux de viabilisation au niveau de cette nouvelle cité. L'entreprise sous-traitante avec l'OPGI de Sétif semble n'obéir à aucune loi et la cité est depuis des mois un chantier abandonné. Ni éclairage public ni viabilisation n'existent. Pire encore, des vices “cachés” sont apparus après les dernières pluies au niveau de certains blocs car la qualité de l'étanchéité laisse à désirer. En plus l'entreprise à laquelle l'OPGI a confié les travaux de VRD n'a pas honoré ses engagements. Les tampons d'égouts et avaloirs n'ont pas été placés. Cette situation constitue un véritable danger sur la santé des habitants, notamment les enfants. Notons que les représentants des habitants ont adressé plusieurs correspondances au premier responsable de l'OPGI mais aucune suite n'a été donnée et l'entrepreneur continue de faire la sourde oreille. Pourquoi n'a-t-il pas été saisi pour achever les travaux ? Le premier responsable de la wilaya est énergiquement interpellé pour mettre fin à cette situation qui perdure. la mésaventure d'un cadre sans salaire depuis 32 mois Un fonctionnaire de la wilaya de Batna ayant exercé les fonctions de directeur de la planification et de l'aménagement du territoire durant treize ans est depuis plus d'un mois sans salaire. Ayant 29 ans d'expérience, le cadre qui a occupé le poste de DPAT au niveau de la wilaya de Sétif, jusqu'à décembre 2004, a été muté à Batna à partir du 1er juillet 2005 en qualité d'analyste en chef de l'économie. Depuis, le fonctionnaire “lésé” n'a perçu aucun sou et les tentatives de faire entendre sa voix auprès de sa tutelle, à savoir la direction générale du budget, sont restées vaines et aucune réponse n'a été donnée au commis de l'Etat. Cette situation qui perdure a pénalisé et le fonctionnaire et ses enfants qui, faute d'attestation de travail et du relevé des émoluments, n'ont le droit ni à la bourse universitaire ni au remboursement des frais médicaux. F. Senoussaoui constantine le centre d'enfouissement d'ibn badis inexploité Les travaux de réalisation du centre d'enfouissement technique de la commune d'Ibn Badis ont été achevés, mais le projet demeure inexploité, faute de statut. “Ce centre reste tributaire de l'élaboration d'un cadre juridique qui définira le statut légal de l'infrastructure.” C'est ce qu'a indiqué le directeur de l'environnement de la wilaya de Constantine, lors d'une visite de travail du chef de l'exécutif dans la daïra de Aïn Abid. La structure est prête à être opérationnelle dès qu'un arrêté interministériel aura été pris, permettant à cette structure d'activer, en tant qu'entreprise publique à caractère industrielle. La gestion du centre en question nécessite une enveloppe financière de 6 milliards de centimes par an. À signaler que ce premier centre d'enfouissement aura un bac d'une superficie globale de 3 hectares, pour une capacité d'enfouissement de 280 000 mètres cubes. Ce premier centre aura une durée de vie de 30 ans et permettra aux communes de Constantine, Ibn Badis, El- Khroub, Aïn Abid, Aïn S'mara et Ouled Rahmoun d'y déposer leurs déchets ménagers. Radia M. A. Saisie d'une importante quantité de pétards Les éléments de la sûreté de la wilaya d'El Tarf ont réussi, en début de semaine, la saisie d'une importante quantité de pétards destinée à la commercialisation. Le pot aux roses avait été découvert lors d'un contrôle de routine que les éléments de la sûreté ont effectué à Ben M'hidi. En effet, 2 101 pétards ont été saisis chez les dénommés T. R. âgé de 26 ans et H. M. 22 ans, et 1 191 autres étaient chez les dénommés (R. A. âgé de 21 ans et A. O., 25 ans. Les mis en cause sont originaires, selon nos sources, d'Annaba. Une autre opération a permis aux éléments de la sûreté urbaine de mettre la main, à Bouteldja, sur 72 boîtes contenant 1 320 pétards chez le dénommé O. K. âgé de 21 ans qui tentait de les commercialiser au marché hebdomadaire de la localité qui se tient chaque lundi. Ces pétards mortels auraient été achetés auprès d'un grossiste à Annaba. Une question reste posée : qui sont derrière l'importation frauduleuse de ces pétards qui provoquent à chaque fête des accidents mortels ? On raconte qu'une femme, à la déflagration d'un pétard, a avorté, un jeune le manipulant inconsciemment a été hospitalisé... et les exemples sont légion. Pourtant, tout le monde sait que les pétards sont interdits à la commercialisation. Tahar B. Les auteurs du crime d'Achatt écroués Les meurtriers du jeune homme de 28 ans d'Achatt dans la daïra de Ben M'hidi ont été présentés devant le juge d'instruction de Dréan. Les deux mis en cause ont été incarcérés à l'issu des conclusions de l'enquête préliminaire. Le meurtre a été commis, mercredi dernier, sur une des plages d'AChatt, une agglomération distante de 10 km de Annaba. Selon la version des meurtriers, une fois “assassinée” la première fois, la victime a été mise sous sable. Cette dernière, qui était toujours vivante, a pu soulever le sable, mais un des accusés lui asséné d'un coup de marteau et fut abandonnée sur la grève. Ce sont les taches de sang qui se trouvaient sur la voiture qui ont poussé les gendarmes à penser à un meurtre. De fil en aiguille, ils ont pu élucider les auteurs du crime qui habitaient à Annaba. En tout état de cause, les meurtriers ont beaucoup de temps à méditer derrière les barreaux avant de répondre devant les jurys de la cour criminelle de Annaba sur les motifs qui les ont poussés à commettre un tel crime. Tahar B.