“L'intérêt des élèves prime”, nous a indiqué, hier, un haut responsable de l'éducation à propos de l'incompréhension provoquée par le foliotage des pages dans l'épreuve d'anglais. “Ce sont douze années d'efforts de la part de l'élève qui ne doit pas pâtir des erreurs de l'administration”, a-t-il ajouté en insistant sur le souci du ministère de l'Education de trouver un équilibre entre l'intérêt de l'élève et la crédibilité de l'examen du baccalauréat. Par ailleurs, l'office des examens a tenu à rassurer les élèves et leurs parents que pour ceux qui se sont trompés dans la numérotation des pages, leurs réponses seront prises en considération lors de la correction, dans le cadre de l'adaptation du barème de notations.