C'est un homme dépité qui s'est présenté, hier, à notre rédaction régionale pour nous faire part d'un problème qu'il a eu à l'APC de Constantine. Arrivé il y a plus de quinze jours au service des actes de naissance afin d'en retirer l'acte de son fils, quelle ne fut sa surprise en constatant que la date de naissance transcrite sur le document en question était le 13 février 1982. Cela aurait été normal si son fils n'était pas né le 23 février 1982. Le comble est que dans cette histoire, le préposé au guichet a tenté de convaincre ce père de famille que c'est lui qui ne se souvenait plus du jour de la naissance de son enfant. Après plusieurs jours de va-et-vient, il s'est avéré que les agents de bureau, en retranscrivant les dates de naissance des vieux registres sur les nouveaux, se sont trompés.