Le premier responsable militaire en Libye a ordonné à l'Egypte de fermer une station de télévision qui fait de la publicité au régime de Kadhafi. A ce même sujet, le même responsable a déclaré que la Libye serez contrainte de fermer ses frontières et de rompre ses relations l'Egypte. Cet état de fait arrive au moment où quatre gardes-frontières tunisiens ont a été kidnappée par un groupe armé Libyen à la frontière Tuniso-libyen. En effet, la Libye a haussé le temps avec le conseil militaire Egyptien au sujet d'une station de télévision qui fait l'éloge au régime de Kadhafi. Pour les Libyens, il n' ya pas 36 milles solution à ce sujet ont-ils indiqué. Selon eux, où le conseil Militaire Egyptien prend l'initiative de fermer les portes de cette station où c'est la Libye qui mettrait fin aux relations diplomatique et fermerait ses frontières. De l'autre côté de la frontière avec la Tunisie, ses ont quatre gardes-frontières Tunisien qui ont été Kidnappés par un groupe armé Libyen. Les quatre fonctionnaires ont été séquestrés pendant plusieurs heures par un groupe libyen armé à bord de quatre voitures tout-terrain, a-t-on appris. L'incident, qui intervient deux jours avant la visite du président tunisien Moncef Marzouki en Libye, s'est produit dans la localité d'El Aguel relevant de la délégation (sous-préfecture) tunisienne de Ben Guerdane, proche de la frontière libyenne. C'est le premier acte du genre dans cette zone frontalière où plusieurs incidents armés «isolés» ont eu lieu ces derniers mois, à l'instigation d'éléments libyens incontrôlés. Selon le porte-parole du ministère tunisien de l'Intérieur Hicham Meddeb, trois membres de la patrouille ont pu s'échapper, le quatrième restant aux mains de ravisseurs dont le nombre et le mobile n'ont pas été précisés. Cet otage, Walid Othmani, aurait été libéré dimanche matin, rapporte la radio Mosaïque FM, à la suite de contacts entrepris aussitôt par le ministre tunisien de l'Intérieur Ali Larayedh avec les autorités libyennes. Blessé par balle à la jambe, il devait être transféré à l'hôpital orthopédique Kassab de Tunis après avoir reçu les premiers soins à Tripoli. Le porte-parole a cependant implicitement accusé «certaines parties», sans plus de précisions, de «tenter de troubler la sérénité des relations» entre les deux pays voisins, à la veille du voyage du président tunisien à Tripoli, pour son premier déplacement à l'étranger depuis sa récente élection.