sur «l'aide à apporter pour l'avenir de la Syrie et des pays de la région» afin de déterminer les mesures à prendre pour répondre aux besoins des victimes de la crise et appuyer un règlement politique du conflit. Cette conférence qui réunira 70 délégations, notamment des Nations unies (ONU), de l'Union européenne (UE) et de la région, mais également de la communauté internationale, des principaux donateurs et de la société civile, ainsi que des organisations humanitaires et de développement, se penchera sur la situation en Syrie et sur l'impact de la crise sur la région. La conférence co-présidée par les Nations unies, l'UE, l'Allemagne, le Koweït, la Norvège, le Qatar, et le Royaume-Uni, «fera le point de la position collective de la communauté internationale dans la réalisation des engagements pris lors de la conférence de Londres» de février 2016, indiquent les organisateurs. La conférence de Bruxelles fait suite à celle organisée il y a un an à Londres, durant laquelle 10 milliards de dollars d'aide avaient été promis. Elle décidera également des mesures supplémentaires à prendre pour répondre aux besoins des victimes de la crise, réaffirmera les engagements existants et déterminera, en vue de répondre aux appels coordonnés de l'ONU, l'aide supplémentaire à apporter aux Syriens, tant en Syrie que dans les pays voisins, ainsi qu'aux communautés d'accueil, a-t-on ajouté.