Une famille fatiguée des promesses sans lendemain, malgré les nombreuses requêtes et doléances transmises au premier magistrat de la wilaya, en l'occurrence Madani Fouatih Abderahmane, ainsi que le directeur des Domaines, le directeur du Cadastre, le cirecteur de la Conservation foncière réclamant un droit légitime, celui de bénéficier du livre foncier et rendre à la famille D. A., un bien privé inscrit dans un cadre de propriété de l'Etat. La famille D. A. est las des promesses des autorités wilayales et locales, elle n'a rien vu venir si ce n'est des mensonges interminables de la part des fonctionnaires et responsables de l'administration, cela est déplorable car cela fait plusieurs années que le problème perdure ! et entre temps la famille D. A. a perdu confiance envers son administration et pointe du doigt les responsables du secteur étatique de la Wilaya en les accusant de tous les maux : de quel droit se permet-on de se moquer d'une honorable famille révolutionnaire : Et dire que devant chaque enceinte de nos administrations, on peut lire le fameux slogan «Par le peuple et pour le peuple», un propos lourd de sens. Dans le sillage des affaires de corruption et de détournement aussi brutaux qu'inattendus, suscite de nombreuses interrogations qui viennent se greffer à d'autres problèmes liées à des détournements de biens fonciers, de corruption de fonctionnaires et de hauts responsables de l'administration, car c'est l'ennemi numéro un de la bureaucratie, alors comment expliquer le fait que la foret de Sidi-Ahmed Bel-Abbès a été totalement attribuée avec la complicité de la direction du Domaine, du Cadastre, de la conservation foncière et des eaux et forets : une complicité généralisée ! Le wali appelé à intervenir pour mettre fin à cette injustice L'Etat algérien par le biais du haut responsable de la wilaya de Boumerdès doit faire respecter les lois qu'il a lui-même édictées et cela quelles qu'en soient les conséquences. Seul l'Etat doit dicter des décisions aussi difficiles soient elles à prendre. Il doit faire preuve d'autorité afin que les les lois soient justement respectées. Il doit avoir toute la lattitude à intervenir au bon moment. Alors comment expliquer la situation qui prévaut à Zemmouri El Bahri et dont le wali est au courant ainsi que les directeurs des Domaines, du Cadastre et de la Conservation foncière au sujet du squatt d'un terrain de 567 mètres carrés par une personne sans foi ni loi récidiviste notoire auprès de la justice, qui avait bénéficié d'une autorisation d'un ex président d'APC en l'occurrence un certain A. A. Ce dernier lui avait délivré une autorisation d'installation d'un kiosque afin de s'adonner à un commerce de vente de produits de parfumerie (dont une copie se trouve entre nos soins). La famille D. A. s'est présenté au président de l'APC actuel pour réclamer leurs droits, ce dernier a reconnu les faits tout en affirmant qu'il avait établi trois mises en demeures avec une décision d'arrêté de démolition étant donné que le sieur B. R. s'est permis de procéder à une construction illicite en béton armé sans aucune autorisation ni permis de construire, dans notre beau pays, il faut le dire sans risque de nous tromper que le fait que chacun fasse ce qu'il veut, ou s'accapare ce qu'il veut, ou, pousse la charrue comme bon lui semble pour en fin de compte déboucher sur les lois de la jungle, et lorsque ces ingrédients sont réunis, il suffit d'une initiative maladroite, d'un incident fortuit, voire d'un mot imprudent qu'un feu prenne :la famille D. A. est respectueuse des lois. Nous savons tous que personne n'est au dessus des lois, aussi chacun de nous a des droits et des devoirs envers la société, le citoyen se doit de respecter les lois, alors la question qui se pose :pourquoi le Directeur de la conservation foncière ne veut il pas délivrer un livre foncier, la famille D. A. dispose de tous les documents nécessaires, actes de propriété, certificat négatif, plan de masse, plan cadastral et autres : le terrain en question est une propriété privée et n'a jamais été un bien de l'Etat. Cependant, une chose est sûre, il y a anguille sous roche ! Quelque chose se trame depuis plusieurs années et il existe une complicité au niveau des secteurs étatiques qu'il convient impérativement de changer si on veut mettre fin à l'injustice et à la hogra qui empoisonnent la vie de la famille D. A. A qui faut-il s'adresser lorsque vous êtes agressé par les représentants de l'administration, C'est le monde des hors-la-loi : Comment se permet-on de rester silencieux lorsqu'une famille est sujette à des dépassements et que personne ne daigne vous écouter, là on peut dire que l'Etat est absent : Le wali, les directeurs administratifs, la brigade de gendarmerie, le président de l'APC sont tenus par le respect de la loi, ils sont les premiers à, qui incombe le respect de la loi et la préservation de la dignité du citoyen.La Brigade de gendarmerie de Zemmouri s'est présenté au sieur B. R. et a constaté de visu l'illégalité de la construction illicite et également le squatt du terrain privé, cette dernière a établi un procès-verbal en bonne et due forme qui a été transmis au président de l'APC et au procureur de la République sous le numéro1134 de 2018 en date du 13 mai de la même année. La Famille D. A. souffre depuis plusieurs années de l'incompréhension des responsables et le wali doit prendre une décision doit intervenir personnellement pour prendre des décisions dans l'intérêt de cette famille, il doit combattre le laxisme, le gaspillage, l'injustice, le laisser-aller- la responsabilité doit et ne peut s'exercer qu'en toute clarté : Pour le moment le sieur B. R. a construit en béton armé sur un terrain privé, il s'adonne à une activité commerciale sans papiers ni autorisation commerciale au niveau de Zemmouri El Bahri et la famille D. A. attend un geste salvateur du wali de Boumerdès, et du président de l'APC de Zemmouri El Bahri pour récupérer son bien. Il est à noter que des requêtes ont étés transmises au Directeur général du Domaine national et de l'IGF (Inspection générale des finances pour venir enquêter sur le problème, malheureusement c'est la loi de l'omerta, du silence. Dans un pays qui se respecte, il suffit d'une plainte pour que la machine se déclenche.