Le Wali de Boumerdés est la seule garantie de crise et l'ultime recours lorsqu'un citoyen ou une famille est sujet à une hogra, à une injustice de l'administration que lui-même chapeaute (Domaine, Cadastre, Conservation fonciére) sans oublier la violation d'un terrain par une personne sans foi ni loi qui occupe illicitement une parcelle de terrain privé et qui s'adonne à la construction en béton armé sans aucun permis de construire au vu et au su des autorités locales. La famille D. A. n'a jamais cessé de crier haut et fort que seule l'intervention du wali de Boumerdès pourrait mettre de l'ordre et un terme à l'impasse dans laquelle elle se trouve. C'est plus qu'un cri, c'est un grand SOS, un appel de détresse adressé au premier magistrat de la wilaya car son intervention est la seule garantie pour mettre fin à cette mascarade ! Le président de la République Abdelaziz Bouteflika n'est-il pas le garant de la Constitution et de l'égalité dans les devoirs et les droits, n'a-t-il pas dit un jour «Lève la tête mon père, ne courbe jamais l'échine» Le wali de Boumerdès en l'occurrence Madani Fouatih Abderahmane n'est-il pas le représentant direct de l'Etat ? N'est- il pas ce commis de l'Etat qui veille au respect de tout un chacun avec le principe de citoyenneté et d'égalité : la famille D. A., en saisissant le wali de Boumerdès, espère un dénouement rapide à une crise , à une injustice qui dure depuis plusieurs années : la loi est-elle ignorée des autorités ? La question qui se pose : que faut-il faire lorsqu'un individu viole un bien privé, il faut s'adresser aux autorités qualifiées, chose qui a été faite à la brigade de gendarmerie de Zemmouri avec le dépôt d'un constat d'huissier et des justificatifs attestant des biens (acte de propriété, certificat négatif et autres) selon les propos d'un membre de la famille D. A. Tout en ajoutant que le chef de brigade s'est rendu sur les lieux et a constaté de visu que le sieur B. R. a accaparé illicitement un terrain et a procédé à une construction en béton armé sans aucun permis de construire, un dossier a été transmis au président de l'APC de Zemmouri en date du 13 mai 2018 sous le numéro 1134 pour procéder à la démolition. Nous ne cesserons jamais de le dire pour affirmer qu'un pays sans loi, c'est un pays sans foi ! nous ne sommes pas à l'ére de Moogli pour appliquer les lois de la jungle, la loi doit être au-dessus de tous car dans un pays qui se respecte, la loi est le fondement de toute la vie sociale. Aucune société ne peut s'étaler ni prospérer, ni surtout durer, si elle n'est basée sur un ensemble de règles qui précisent et régissent les relations entre les individus qui la composent, qui fixent les limites du comportement de chacun dans l'intérêt supérieur de la collectivité et qui conditionnent la réussite des objectifs que l'on s'est fixées. L'Etat algérien doit être un Etat populaire au service exclusif du peuple. La famille D. A. a saisi également le président de l'APC de Zemmouri, ce dernier a été très attentif aux revendications justifiées et il va de soi qu'il a promis de faire le nécessaire pour effectuer cette démolition illicite et cette acceptation d'un responsable dans cette institution de la collectivité locale est une notion de responsabilité et l'honore, malheureusement rien de tout cela n'a vu le jour et le sieur B. R. continue de défier les autorités en continuant à placer des rideaux métalliques sur sa construction : grave ce qui se passe Monsieur le wali, intervenez au plus vite en saisissant le P/APC à procéder à la démolition. Cependant toute cette marmelade est la faute des directeurs des Domaines, du cadastre, de la conservation foncière et autres.