C'est à l'institut Mohand chérif Salhi que la rentrée de la formation professionnelle de septembre a été lancée, celle-ci s'est déroulée dans les meilleures conditions et l'engouement qu'on lui. Un peu plus de 4 500 nouveaux inscrits à travers les centres et instituts de la wilaya et la liste en plusieurs centres reste ouverte. Ce qui permet d'augurer que le chiffre de 5 000 serait atteint, s'il ne l'a été déjà. L'institut de Sidi Aich qui souscrit au partenariat signé entre la tutelle et l'entreprise d'électricité Schneider a eu l'insigne honneur d'abriter les festivités de la rentrée officielle de la formation professionnelle. Une rentrée qui bien que placée sous le signe particulier et officiel à laquelle se sont invités les autorités de la wilaya à leur tête le wali par intérim, s'est déroulée selon la directrice Mme Menzou, dans de très bonnes conditions. Il en est de même a-t-on appris pour la localité d'Akbou dont les inscriptions se poursuivent encore jusqu'à la fin de semaine pour susciter de nouvelles demandes recevoir les derniers retardataires. Autant pour la région Est où le centre de Kherrata se félicite des résultats de sa campagne de sensibilisation qui aura été concluante, avec une rentrée qui a permis l'inscription d'un demi-milliers de stagiaires. La formation professionnelle avec prés de 18 000 stagiaires répartis entre 22 centres et deux instituts, continuent de s'inscrire dans une ligne de déploiement qui va en parallèle avec les orientations des programmes nationaux de développement. La recherche sans cesse de bouveaux métiers, l'insistance de la touche de qualité, et le jumelage des besoins avec le marché de l'emploi, sont autant de paramètres qui contribuent à mettre les jeunes en confiances quant à leurs avenirs. La recherche d'acquérir un métier est une nouvelle donne et un créneau qui ne cesse de rallier même des bacheliers qui en font de la formation professionnelle leur choix. Un peu plus de 16 nouvelles formations s'ajouteraient à l'ancienne nomenclature, alliant sans cesse le besoin et la nouveauté. En plus des centres et instituts étatiques, 22 établissements privés contribuent également a la dynamique de formations aussi bien pour des jeunes qui aspirent à un devenir qu'à un apprentissage dans diverses filières de la vie active qui progressivement ont tendance a se placer sous des standards qui n'ont rien à envier aux écoles d'outre- mer.