L'un des plus vieux projets lancé depuis plus de cinquante ans de l'ancienne église Sainte-Magdeleine avec la consommation d'une série de subventions a enfin trouvé preneur ces derniers mois . En effet, la mosquée Salah Eddine El-Ayoubi, un imposant édifice religieux implanté en plein centre de la capitale des rostomides, et l'un des repères de la région, est en chantier depuis la fin des années soixante-dix. Ce lieu qui reste sous les regards du chef de l'exécutif a connu une visite ce samedi. Lors de la halte s'est tenu un point de presse avec les représentants des différents organes. Selon le conférencier, pour le concours des architectes, seuls deux postulants se sont présentés pour le projet, et le choix est validé par une commission d'experts du domaine, dont le jeune Benasla Belkacem a été retenu pour l'étude de l'achèvement de la mosquée Cette énième enveloppe financière vient d'être allouée pour mener à terme les travaux de ce méga-chantier, occupant le centre de la ville de Tiaret. Selon l'orateur, ce lieu de culte qui aura son statut, a repris les travaux par une main-d'oeuvre qualifiée et par un bureau d'étude chargé du suivi par des hommes expérimentés, dont l'étude a été fixée pour 4 mois et le délai est de 8 mois. En effet, la mosquée Salah Eddine El-Ayoubi, un imposant édifice religieux implanté en plein centre de la capitale des rostomides, est en chantier depuis un demi-siècle, financé à maintes reprises par l'Etat et les bienfaiteurs, sans compter l'intervention d'une panoplie d'associations locales, sans connaître le vrai statut religieux, ont mené le projet au fond du gouffre. L'intervention, riche, avec une série d'accompagnement de la salle des conférences aux trois salles de prière, à l'école coranique comme des insuffisances liées à l'acoustique, l'absence des issues de secours, le parking, ou encore, l'aménagement extérieur de la mosquée d'une architecture moderne, où une grande partie de ce lieu de culte occupé quotidiennement par les chômeurs de luxe dont l'espace connaîtra une partie de la mosquée s'ajoute la bâtisse de l'ex-annexe de la commune (Afcot). Sur les lieux et devant les chargés de la réalisation, la décision ferme de Monsieur le wali de l'accélération des travaux et le respect des délais afin que la mosquée puisse accueillir ses fidèles le mois sacré de Ramadhan. Une carte postale offre l'image d'un joyau architectural et son paysage tend ses rayons pour le précieux liquide, l'eau. Les décisions fermes du premier responsable de la wilaya trouveront-elles le bon chemin qui mène à l'ouverture des portes à ce projet en souffrance depuis un demi-siècle