À l'attention de quelques commentateurs abrutis par la propagande de quelques officines françaises, surtout, ou des islamo-démocrates qu'ils suivent comme des moutons, encore aujourd'hui, alors que la vérité incontestable a surgi depuis des années. Le propre des idiots est que même lorsque le manipulateur leur avoue qu'il les a manipulés, ils ne le croient pas ! Il n'est pas normal que certains ne comprennent pas encore qu'un ennemi s'introduit toujours par le biais des siens, sans se poser de sérieuses questions sur leur probité, leurs intentions et leurs liens ! Ces ONG (NED, Canvas, Open Society, Open House, OPTOR, CFI) ne financent jamais des associations sans contrepartie, sans retour sur investissement. Il n'existe pas « d'aides » sans céder une partie de sa souveraineté ! Les implications de ces ONG dont Canal France international, lié au Quai d'Orsay, ne sont pas une vue de l'esprit ! C'est une réalité prouvée. Des personnalités, des journalistes et des organisations algériennes ont bien bénéficié de formation et de financements étrangers. Le Dr Ahmed Bensaada, par exemple, dans son livre-enquête a bien cité les noms et les montants en dollars avec date. Il donne tout en détail avec des preuves documentaires ! À ce jour, aucune des personnes citées ne lui a apporté la contradiction et les contre preuves. Il serait fastidieux d'énumérer les bourdes commises avant et après l'apparition de son livre « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak algérien ? ») dénonçant explicitement les accointances d'Algériens avec des organismes étrangers, initiateurs des « printemps », desquelles ils ont reçu des dizaines de milliers de dollars dans le but de les aider à faire changer le régime de leur pays. Ces bougres, dont les algériens connaissent les actions de sape et leurs magouilles, qui jugent en se substituant à la justice, ne se rendent même pas compte qu'en soutenant, avec leurs façons arrogantes et insolentes, ces associations-là et ces « journalistes », ils se présentent comme témoins à charges confirmant les accusations dont – elles font l'objet. Ce qui est curieux, c'est que la plupart se déclarent « journalistes » ! Oui « Journaliste. D'abord, il lèche, puis il lâche et il lynche » dit un proverbe anonyme. Il est vrai donc que les idiots, les lâches, les canailles et les traitres le resteront jusqu'au bout. En fait, ont-ils vraiment besoin de faire pression sur les institutions de leur pays en faisant appel à ce genre de « pseudo-justiciers », mal inspirés, pour contrer la force de la loi ? Ces lobbys de pression qui les instrumentalisent sont des fossoyeurs qui accablent plus qu'ils n'assistent avec leurs façons effrontées et pernicieuses ! Ils agissent ainsi pour justement les faire condamner en faisant en sorte que leur malheur, dont ils vivent aux dépens, dure le plus longtemps possible ! Quand on constate, de surcroit, des médias israéliens les relayer (eux qui tuent les journalistes), on a là la quintessence de l'argumentation à charge ! Ont-ils vraiment conscience de ce qu'ils font en suivant ce côté obscur ? RAJ-Algérie (rassemblement-actions-jeunesse), Radio M et Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (LADDH, une Ligue parallèle), sont les premières « ONG » à subir la rigueur de la loi, par leur fermeture pour financement étranger illégal et activisme non conforme à leurs objectifs (Radio M, par exemple, n'a même pas d'agrément). Rappelons encore les révélations du Dr Ahmed Bensaada : Le Collectif des familles de disparus en Algérie (CFDA) a bénéficié de la NED de la somme de 462 900 $ (entre 2001 et 2014) ; cela fait en monnaie locale plus de 6 millions de dinars algériens (DA). Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (LADDH) n'explique pas, à ce jour, les montants qu'elle a perçus. Elle a bénéficié d'un financement de 117 000 $ de la NED entre 2002 et 2010 (sauf en 2004). Soit plus de 15 millions de DA. Le RAJ-Algérie (rassemblement-actions-jeunesse) a bénéficié de la NED d'un financement de 427.000 $ entre 1997 et 2019. Soit plus de 56 millions de DA. Radio M a été financée par « Canal France International (CFI) » qui dépend du Quai d'Orsay. Entre 20.000 et 80.000 € (soit entre 3 millions et 10 millions de DA). Pour cette radio, la somme est plus proche de 80.000 (selon Bensaada). Prenons l'exemple de Ligue algérienne de défense des droits de l'homme (LADDH). La LADDH fait presque exclusivement dans la politique (et la propagande) en relayant les thèmes de partis opposants et/ou en instrumentalisant des personnes condamnées pour infraction à la loi en les présentant comme « victimes de l'arbitraire »... et ce, uniquement dans l'objectif d'affaiblir le « pouvoir » pour celui d'un clan ou d'un milieu funeste. Ses rares actions pseudo-humanistes ne le sont que pour dissimuler la tromperie. Lors des manifestations populaires contre le 5ème mandat, la LADDH a été très active, mais pour imposer une « phase de transition » antidémocratique et anticonstitutionnelle suggérée depuis la France ! Me Bouchachi, un des autoproclamés (ex-député et ex-président de la LADDH) a déclaré, en ces moments, « il n'y aura pas d'élections présidentielles le 4 juillet, le peuple a dit non ! ». Il y a environ 7 ans la LADDH s'est permis une bourde dont on s'est demandé pour quel objectif et au profit de quelle officine ! Elle a osé illégalement, avec culot, se convertir, pour un moment, en organisme de sondage et d'enquête qui a dû exiger un sérieux financement. Comment a-t-elle fait et avec quel argent si tant est qu'elle a réalisé cette enquête vraiment et honnêtement. Cette LADDH a dit avoir mené une enquête (ayant touché 4.500 ménages) sur « la pauvreté en Algérie » par laquelle elle a déduit que « 14 millions d'Algériens (1.932.000 familles) vivaient sous le seuil de la pauvreté », soit 35% de la population algérienne estimée, en ces temps, à 40 millions. Il fallait donc pour les pouvoirs publics, coûte que coûte, assainir ce paysage associatif qui sombre, de plus en plus, vers de graves déviances, voire vers la traitrise ! Que doit bien faire un Etat indépendant et souverain, face à des associations dites « ONG indépendantes » qui activent, par des financements étrangers, à déstabiliser cet Etat en fomentant des révoltes pour instaurer des gouvernements liges, assujettis à une puissance étrangère; dans le cas de l'Algérie, à la France ? La fermeture légale de ces associations, avec interdiction d'activer, est la moindre des réponses pour assurer la sécurité ! Quels pays, comme les USA et la France, ne l'ont pas fait ? À tort ou à raison, mais ils l'ont fait « pour des raisons sécuritaires » disent-ils.