Au moment où certains pays arabes et musulmans abandonnent les Palestiniens et préfèrent coopérer ave les criminels sionistes, un pilote militaire américain donne l'exemple de la conscience humaine. Un militaire américain qui s'est grièvement blessé en tentant de s'immoler par le feu dimanche devant l'ambassade de l'entité sioniste à Washington pour protester contre l'agression en cours contre le peuple palestinien à Ghaza, est décédé lundi, rapportent des médias. Des images apparemment diffusées en direct par ce dernier sur la plateforme de streaming Twitch, montre cet homme, en tenue militaire, déclarer qu'il « ne sera pas complice d'un génocide » à Ghaza, et s'asperger de liquide, ont rapporté les médias américains. Il tente ensuite de s'immoler par le feu en criant « Free Palestine ! » (Libérez la Palestine ! ), jusqu'à ce qu'il tombe au sol, d'après la même source. Les premiers rapports des médias américains indiquaient que son état était critique et qu'il y avait un risque imminent pour sa vie, avant de confirmer plus tard son décès à l'hôpital. Cet incident n'est pas sans précédent. En décembre dernier, un manifestant portant un drapeau palestinien s'était également immolé par le feu devant le consulat sioniste en Géorgie, subissant de graves blessures, rappelle-t-on. Au cours d'une intervention à la 55e session ordinaire du Conseil des droits de l'homme des Nations unies à Genève, Al-Maliki a déploré qu'«en dépit de la destruction des droits de l'homme par l'entité sioniste à Ghaza, cette dernière bénéficie de l'impunité, de veto et d'armes», relevant que «cela n'a été rendu possible que grâce à la logique de deux poids, deux mesures et une sélectivité dans l'application du droit international». Rappelant que l'agression sioniste toujours en cours contre l'enclave palestinienne a coûté la vie à près de 30.000 Palestiniens, le chef de la diplomatie palestinienne a fustigé «le rôle des institutions internationales dans la prise de mesures concrètes pour dissuader l'entité sioniste et la tenir responsable de ses crimes de guerre, de ses crimes contre l'humanité et de son génocide». Il a fait observer, à cet égard, que «la guerre génocidaire et les crimes de l'entité sioniste sont d'abord contre les droits inaliénables du peuple palestinien, en particulier le droit à l'autodétermination, à l'indépendance et au retour à la terre». Al Maliki a ajouté que «la machine de guerre sioniste a délibérément bombardé des infrastructures, des maisons, des hôpitaux et des établissements d'enseignement, pour provoquer des dommages et créer des conditions de vie désastreuses pour le peuple palestinien».