Si la cocaïne a été interceptée, en petites quantités, chez un dealer cela veut dire qu'elle circule en grande quantité chez d'autres. Car cette drogue dite dure est cédée à des prix très très chers par rapport à d'autres extasiés et psychotropes. Paraît-il qu'elle n'est pas servie à crédit ou en dépôt vente. Ou tout simplement pour passer entre les mailles des filets des brigades de recherche. Avec une quantité basique ils déclarent que c'est pour la consommation personnelle. Ce qui leur permet de passer comme victime et bénéficier de l'indulgence du tribunal. Les derniers maillons des dealers paient cash pour son acquisition. Pour deux raisons la première c'est l'abstraction de la confiance ; la seconde personne n'est pas à l'abri d'une arrestation par les BRI qui sont devenues très efficaces et ne pardonnent jamais. Dernièrement nous avons reçu un communiqué de presse de la dynamique cellule de communication de la sûreté de wilaya de Djelfa faisant part de l'arrestation de deux dealers en possession de 345 capsules de différents psychotropes et de 2,7 grammes de cocaïne. Les deux personnes confondues dont l'âge dépasse la quarantaine dont un récidiviste. Après traitement du dossier, ils ont été présentés au Procureur territorialement compétent.