Comme nous l'avons signalé dans une précédente chronique, la Confédération des complots à fond (CAF) n'a pas baissé les bras. Au moment où nos joueurs croyaient engager une confrontation footballistique, les jeux des coulisses battaient leur plein. Pour les moins avertis, on s'attendait à une réédition de la prestation fournie contre la Côte d'Ivoire, ce qui n'est pas le cas pour certains observateurs qui savaient déjà que les confrontations contre les Egyptiens comportaient toujours une touche empoisonnée. Dans ce courant de l'histoire footballistique, et après avoir raté la qualification au Mondial, les Egyptiens et leurs complices au niveau de la CAF ont tout fait pour stopper l'équipe algérienne et faire passer les Egyptiens au tour final. Histoire de compenser un complexe refoulé. Voyons un peu l'évolution de ces matchs où l'on voulait faire croire que les Egyptiens étaient des géants du football. Dès le premier match contre le Nigéria, la couleur était annoncée par l'arbitrage en faveur des Egyptiens. Un pénalty en faveur du Nigéria est ignoré par l'arbitre de la rencontre. Rebelote contre le Cameroun où l'on assiste à un but fictif qui avait eu son poids psychologique pour les coéquipiers d'Et'oo. Et le bouquet final de la partialité fut dévoilé contre les Algériens avec un premier carton pour Halliche. Carton fictif, bien sûr. Un pénalty, un carton rouge, et c'est l'avalanche des cartons rouges. Il fallait casser cette équipe algérienne coûte que coûte. Il fallait casser cette défense classée parmi les meilleures d'Afrique…pour ensuite donner l'occasion aux Egyptiens de triompher à 12 (puisque l'arbitre est de leur côté) contre 8. Et pourtant avant la rencontre, on a voulu nous faire croire que Kofi Codjia était le meilleur arbitre africain. Ce n'était que leurre car le bonhomme était dès le départ gonflé à bloc contre les Algériens. Combien de hors-jeux égyptiens n'ont-ils pas été sifflés? Combien de coups francs au bénéfice des Algériens ont-ils été ignorés? Combien de cartons jaunes devaient être donnés aux Egyptiens… et la liste est longue. Qu'on le veuille ou non, les jeux étaient faits dès le départ. Fahmy et consorts ont su jouer la partie en préambule avant que les joueurs ne rentrent sur le terrain. L'arbitre béninois qui compte partir en retraite a su faire son choix. Il avait préparé son baptême de feu en favorisant les Egyptiens quitte à se ridiculiser devant le monde. En tout cas, même si les Egyptiens arrachent le troisième trophée successif leurs victoires ont toujours été entâchées de la bénédiction d'arbitres en quête de beaux jours à Alexandrie ou au Caire. Qu'on le veuille ou non, l'arbitrage africain souffrira toujours de ces virus qui le déshonorent tant que la Confédération des complots à fond (CAF) se trouvera en Egypte et que ses coulisses seront infestées d'Egyptiens.