L'affaire remonte au 8 avril 2010 lorsque les éléments de la police ont été informés de la découverte à l'hôpital d'un bébé mort dans des conditions obscures. Immédiatement, les services de sécurité se sont rendus sur les lieux pour constater les faits. Selon les premiers éléments de l'enquête ouverte a déterminé, une femme de ménage qui travaillait chez une particulière dans sa maison était en désaccord avec son mari, un certain Z. A. Cette dernière accoucha à l'intérieur des toilettes d'un bébé, qui selon ses aveux, était un mort-né de sexe féminin. L'accusé, après avoir remarqué qu'il était mort, l'avait caché dans un sac en plastique noir. Quand la maîtresse de maison a appris que son employée avait eu un mal aise chez elle, elle conduisit celle-ci vers hôpital d'El Taref à bord de son véhicule et là les sages-femmes dont G. A. découvrirent le sachet posé près du lit de l'accusée et en le fouillant, elles trouvèrent le bébé enveloppé dans un tissu. Le médecin légiste affirma que c'est une mort non naturelle qui remonte au 26 avril 2010 . Le ministère public a plaidé l'acte criminel avec l'intention de donner la mort par strangulation et dissimilation du crime et a demandé une peine de 12 années de prison. A la fin du procès, le jury condamna l'accusée à trois ans d'emprisonnement ferme et à une amende.