N'ayant pas perçu leurs indemnités depuis six mois, une dizaine de jeunes universitaires, recrutés dans le cadre du dispositif de l'emploi de jeunes par le service de l'état civil de la commune d'Arzew, ont manifesté, hier, leur colère auprès du maire de la commune. Déplorant cette situation, ces universitaires qui se sentent lésés dans leurs droits estiment qu'ils sont pris en otage entre les uns et les autres responsables de l'administration locale. Le problème a été soumis au premier magistrat de la ville et ce dernier aurait orienté les protestataires vers d'autres services, en vain.