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La cité, l'élu, le citoyen et la société
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 27 - 10 - 2015

« Le laxisme, c'est une nouvelle doctrine qui pose en priorité que dans un poulailler, les poulets sont totalement libres… Tout comme le renard »
En ce moment, la plus grande nécessité économique c'est d'avoir des règles d'éthique plus sévères, impartiales mais répréhensibles sévèrement, des règles renforcées par des lois inflexibles, sévères et soutenues par de véritables hommes dans des institutions fortes.
L'administration communale appelée communément Assemblée populaire communale (APC) ou trivialement la «mairie», détient de très lourdes responsabilités envers les véritables «citoyens» pour être plus civilisés via la gestion, la lucidité et ce fameux patriotisme «Nabghi bladi » (j'aime ma ville) ainsi que l'imagination bienfaisante en matière de :
- bonne gouvernance et de développement de proximité ;
- l'amélioration des services publics ;
- l'amélioration du cadre de vie des «citoyens» ;
- la réalisation d'un programme de développement intégré local.
Le champ de responsabilité de l'entité est, bien entendu, ordonné et cantonné dans son statut (code communal) qui caparaçonne des domaines bien qu'insuffisants telle la déconcentration, c'est-à-dire que le pouvoir a augmenté, sinon exagéré les pouvoirs des fonctionnaires (SG) nommés par l'autorité centrale. Ces commis de l'Etat exercent leurs fonctions de façon léthargique plus près des collectivités locales, croyant être souvent mieux à même de comprendre leurs desiderata et leurs besoins devant une situation locale qui connaît une situation des plus cauchemardesques.
Toutes les missions et attributions sectorielles sont confiées au niveau local aux représentants de l'Etat (instances exécutives sans aucun impact réel sur le terrain), alors que le principe de la décentralisation laisse entendre ou sous-entendre que les collectivités locales disposent de pouvoirs et d'attributions qui leur sont impartis par la loi et veut qu'on augmente, renforce et responsabilise plus les pouvoirs des autorités locales élues (institution de représentation populaire délégitimée par l'informel existant, l'arbitraire non puni et le non-droit exagéré), elle-même est une chose dont on ne parle que très peu et qu'on néglige le plus souvent. Par ailleurs, les domaines les plus importants et même stratégiques, à savoir les problèmes de la vie quotidienne : le transport, la santé, l'habitat, le travail, l'hygiène, l'éducation, la culture, les loisirs, l'environnement, la régulation, le développement
économique, social et moral… Il y a aussi la gestion de proximité, l'information locale, la préservation du patrimoine local, le développement humain, la bonne gouvernance. La démocratie de proximité fait renaître la richesse du savoir qui est marginalisé par les propres à rien.
La finalité de ses missions est bien :
* le bien-être du citoyen quand il s'agit de droit,
* de peuple quand il s'agit de pouvoir,
* de «Ghachi» quand il s'agit d'affaires,
*et de gâchis quand il s'agit d'immoralité, de prévarication.
La réalité de la chose est qu'en définitive cette gestion communale anarchique, elle n'est aucunement appuyée par des logiques administratives, économiques, juridiques et financières. Le peuple et «El Ghachi» doivent en principe, situation oblige, se manifester davantage en qualité d'agent social actif (citoyen) et non subir les aléas par sa passivité et son apathie. Le système ou les règles, valeurs et normes d'ensemble ne confèrent point aux communes ou plutôt APC (confusion entre pouvoir et l'Etat) une indépendance ou plutôt une marge qui puisse briser la plupart des liens qui les rattachent à l'Etat, tant que l'Etat donne et le pouvoir ordonne et personne ne contrôle, le peuple a tendance en général à aller vers le pouvoir (la vache providentielle) et la société va vers l'Etat (Etat de droit = sécurité = justice = progrès et prospérité).
L'obéissance avec œillères au chef supprime toute compétence et amenuise l'intégrité, tandis que l'obéissance aux lois restitue la virtuosité donc fait naître l'espoir de bien vivre ensemble dans le cadre organisé, ordonné et disciplinaire. Mais voilà, avec un système autiste, on ne sortira jamais de l'auberge espagnole, sinon par une insurrection citoyenne, une rébellion civique ou une révolution populaire pour que le changement ne prenne plus le chemin des réformettes qui ne signifient pas grand-chose chez nous et pour nous. Car, il faut bien signifier que les béni-oui-oui ou arrivistes ont désocialisé la compétence, le savoir-faire et la virtuosité pour céder la place à l'incompétence et tous les ingrédients qui vont avec, en semant la culture de l'avoir et en détruisant la culture du savoir.
QUE LE POIDS SOIT EXACT ET LA MESURE PLEINE (CORAN, S. BETAIL 6.149)
Il est clair que la qualité du cadre de vie ou tout simplement le bien-être. Cette action exige le plus normalement possible comme disent les Algériens par cette expression «c'est normal», des ressources financières, des ressources techniques et scientifiques et des ressources humaines et culturelles utilisées d'une manière qualitative, d'une efficacité enrichissante et d'une efficience profitable pour le bien de tout le monde. Malheureusement, la rente a souillé tout le cadre de vie allant de la conscience jusqu'aux comportements en passant par le patrimoine local et national.
La gestion des services publics, son amélioration, sa plus-value et la qualité de ses prestations au profit de la population (bien-être) sinon des citoyens et en conséquence avec son environnement structurel (tutelle - la société civile - les entreprises et les autres organisations). La gestion est, certes, source de contraintes budgétaires (la croissance nécessaire est sollicitée), richesse + valeur ajoutée à l'appui. La solution réside de ce point de vue dans une tarification réelle (elle s'amorcera pour tes bientôt), conséquente et équitable sous la coupe de l'APC et principalement du P/APC et des services rendus aux usagers (circulaire N° 01047 citée dans l'article précédant paru dans le Quotidien d'Oran daté du 25/10/2015), mais également dans la recherche de mode de gestion le plus approprié qui dure dans le temps et dans l'espace communal de ce qu'on appelle le plan de gestion qui n'existe pratiquement pas dans l'esprit des ressources humaines de la commune.
Les insuffisances dans le système de gestion de tout service public allant du système de ramassage défectueux et défaillant des déchets ménagers et autres ordures, d'un éclairage sombre semblable aux amblyopes ou encore aux borgnes, des espaces verts méconnaissables, des « nids-de-poule » devenus des cratères que tout conducteur évite forcément, des trottoirs en défaut, des entrepreneurs qui font ce que bon leur semble.
Des trottoirs mal faits qui grossissent davantage la facture de la santé, un petit trou dans un trottoir, ou un treillis soudé apparent, ou même une rigole (faut pas rire, ça existe récemment et réellement dans la rue de la République de la Beni Saf), peut facilement provoquer un incident et une altercation pour un citoyen amorphe (une simple fracture de cheville par exemple ou autres malaises) coûtera pour la santé un coût conséquent en dinars, et pour le citoyen en sueur, en mauvaise humeur, en mal… et en devises (la complainte devenue contrainte des élus). Alors qu' avec peu de moyens et peu de volonté, la réparation du petit cratère peut éventuellement épargner ce genre d'accroc avec plus de bénéfice, si l'intelligence y est pour un minuscule petit ennui que personne ne sait valoriser en termes de sueur, de douleur, de complication, de malaise, d'embûches… qui fait partie du cadre de vie.
«L'ESPRIT DE L'HOMME SUPERIEUR EST FAMILIER AVEC LA DROITURE, L'ESPRIT DE L'HOMME MOYEN EST FAMILIER AVEC LE GAIN.» CONFUCIUS
L'APC, le P/APC et la commune se trouvent envahis, inondés et dépassés par les problèmes d'hier, les nuisances d'aujourd'hui, du calvaire quotidien et également de demain par cumul d'ennuis, de reports et des interrogations. Sans parler de la fuite en avant. Le cadre juridique de la loi 11-10 du 22 juin 2011 relative à la commune leur permet d'attiser davantage la mise à la privatisation (concessions et d'affermages) de ces services publics (ordures ménagères, l'éclairage public, les parkings et aires de stationnement, l'aménagement, l'assainissement et l'entretien…), car une régie n'est qu'un casse-tête qui n'arrange pas les affaires du P/APC, de l'APC et de l'administration communale. Ce recours recommandé certes par les dispositions du code communal à la concession et l'affermage au moyen d'un cahier des charges définissant clairement et avec précision les obligations contractuelles du concessionnaire et des pouvoirs publics, mais en réalité il équivaut à un cahier des décharges, car des exemples montrent bien la débâcle en matière de droits bafoués et d'obligations ignorées. Le plus grand déficit en matière de capacité de management qui constitue en fait un blocage certain pour tout développement communal allant de la faisabilité de tout projet technique et financier, de son élaboration, de son suivi et son contrôle dans sa réalisation, et sa réception qualitative en tant que service proprement dit public qui pourrait satisfaire en quelque sorte le citoyen (amélioration du cadre de vie) sinon bâcler pour faire plaisir au peuple.
A Beni Saf, par exemple, la commune ne réceptionne que la médiocrité des projets immatures (PCD, PSD et AF) voire l'état de la rénovation ou plutôt de la dégradation de Souk El Fellah (marché couvert), le jardin public en état pitoyable devenu vidoir, urinoir et dépotoir à la fois, sans aucun remords de qui que ce soit ! Les symboles de l'Etat (certains noms de chouhada de la stèle sont démolis) sont persiflés sans que personne (maire, chef de daïra, directeur de wilaya des anciens moudjahidine…) réagisse. Les aménagements de trottoirs et d'éclairage public sont refaits avant même leur amortissement, des constructions qui s'écroulent tout juste après leur réception, ce n'est plus de la platitude, mais l'insolite allant de la préparation de la fiche technique trop grossière en passant par le bureau technique laissant faire l'entreprise et pour finir une fiesta pour un résultat minable (cas constatés d'ouvrages
à Beni Saf ). Le président de la commission des travaux de l'APC content de l'indemnité perçue qui dépasse sa pension de retraite, le travail de suivi et de contrôle sur la qualité des travaux des programmes engagés est entaché de laxisme. Le programme des « Algérie Blanche » n'a pas rendu la cité blanche !!!
L'APC, le P/APC et la commune dévoilent au grand jour des faiblesses et des dysfonctionnements qui freinent toute avancée vers une qualité de la prise en charge des services rendus aux citoyens sans parler d'efficience, d'efficacité et d'économie qui ne font plus partie et ne prêtent plus attention de ce lexique de l'administration, de la commune, ni du côté du P/APC, encore moins de l'APC. Le système de management (conduite-orientation et direction) n'est pas mentionné en tant que tel dans le cadre réglementaire même pas sous forme de suggestions ou allusions, encore moins de conception. Il peut être systématisé pour des raisons de faiblesse des moyens humains dans le sens le plus profond, sinon large pour ne pas dire populaire et l'insinuation est claire ! De l'archaïsme dans l'organisation du travail. L'organisation ne répond peut-être pas aux besoins de la commune, vu l'absence des normes de performance et l'inexistence d'objectifs précis de gestion et surtout de négligences de sanctions qui font défaut à tout cœur.
«VOIR CE QUI EST JUSTE ET NE PAS LE FAIRE EST UN MANQUE DE COURAGE.» CONFUCIUS
L'absence de stratégie de programme et d'objectifs précis embrasée par un système de communication très archaïque, des réunions inefficaces et sans aucune issue, un étrange affichage rudimentaire suivi d'une mauvaise circulation de l'information entre les structures de la commune même et la communication en direction des citoyens, associations et autres agents de la société civile (l'idéal de l'Etat de droit)… L'APC, la commune et le P/APC ne connaissent pas du tout leur environnement économique, ni social, encore moins leur environnement culturel et sportif… La faible réglementation est déjà très mal maîtrisée et indisponible (désordre). L'APC est dans l'incapacité totale à assumer ses propres prérogatives, encore moins ses responsabilités dans le cadre de la libéralisation de l'économie de marché, à savoir la régulation, la rénovation de la gestion de la commune pour une meilleure prise en charge des besoins de la population et le peu d'espoir des citoyens à travers son nouveau statut (du code communal), le cas échéant est d'une efficacité inaccoutumée dans le gaspillage volontaire des deniers publics et autres nuisances dégradantes et avilissantes telle que la corruption qui est tirée par l'abus de pouvoir et surtout l'impunité généralisée, ce système de corruption s'est développé d'une manière fulgurante derrière les soi-disant marchés issus des plans de développement locaux (PCD - FCCL - autofinancement), régionaux (PSD) et nationaux (grands projets) dont les résultats sont en dessous de tous les espoirs, sans aucune possibilité pour un recours d'un citoyen ou plutôt d'un lambda, une association et bien d'autres procédures administratives fonctionnant plus dans un circuit, un système où baignent l'immoralité, la perversion et le cynisme des affaires, du pouvoir, de l'argent et autres.
Ce mal de développement aggrave la désintégration et creuse les inégalités qui font éclater le reste du pacte social qui existe, alors bonjour les dégâts ! La loi récupère le droit en principe et vice-versa et que la sanction et le châtiment ne viennent rétablir l'ordre et aussi la morale des affaires de la commune (début de l'Etat) et par conséquent de la société.
Mais dans un Etat de droit où la morale devient la loi de la raison, cette capitulation des élus est surmontée par l'ascension de sa tutelle qui téléguide à coups de fax et de téléphone ! Où les responsables de cette même tutelle mènent une valse sous l'emprise administrative et autres hégémonies par «proxy» d'un P/APC qui se contente de rimailler en un élu comparse oubliant le peuple ou le citoyen pour être à la merci du pouvoir de sa tutelle. Le choix entre le peuple et le pouvoir, la question ne se pose même pas ?
La mise en place d'un système « culture de gestion » plus dynamique par l'introduction de nouvelles méthodes et techniques de management moderne que les S/G communaux devront avoir en principe, et la modernisation des techniques de gestion (réseau intranet, internet, et demain le nanotechnologie…), et autres pour l'état civil et autres documents administratifs (biométrique, CI, passeport et même carte grise) et autres procédures portant sur un nouveau guide de l'administré pour soulager tous les désagréments d'ordre administratif des citoyens…
La classification des missions de la commune/ wilaya/Etat pour éliminer les confusions, les gaspillages des moyens et leur efficacité. L'APC est en fin de compte une institution territoriale qui a pour mission principale le développement socio-économique et culturel, des conflits naissent et représentent des freins entre l'administration de la commune, l'APC, le P/APC et les acteurs locaux, à savoir le front culturel et social, le front éducatif, le front économique, le front écologique, la santé, l'hygiène…
Les citoyens n'admettent plus que leurs revendications, leurs besoins, leurs attentes légitimes ne soient pas pris en charge sinon la situation se coalise avec le désordre social auquel s'ajoute l'économique et se greffe le culturel, car celui (responsable de l'APC) qui ne peut pas gérer son temps et son espace ne peut rien gérer d'autre (ses moyens matériels, financiers et humains) par carence morale et spirituelle...
L'unique priorité qui nous reste à découvrir est de se demander qui fait quoi, où, quand, comment, combien et pourquoi, mais pourquoi pas le Bon, la Brute et le Truand ont peut-être quelque chose à confesser à propos de la gestion des services publics ?
Le bon vous dira que gagner de l'argent pour la commune est un art, le dépenser utilement pour la collectivité est une culture, c'est le nouvel ordre d'esprit qu'on souhaite.
Pour les deux autres, je vous laisse le soin d'imaginer leur pénitence.


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